L'Institut professionnel de la fonction publique du Canada

Comité d’apprentissage et de formation (CAF)

Procès-verbal

Le vendredi 7 juillet 2017

Sont présents : Kimberley Skanes, présidente

Nancy Lamarche, directrice régionale des relations du travail

Gordon Bulmer, Région de la capitale nationale

Peter MacDougall, Colombie-Britannique et Yukon

Peter S. Jozsa, Ontario

Kieth L. Laing, Prairies et T.N.-O.

Carolyn Hynes, Région de l’Atlantique

Robert Tellier, Québec

Ivana Saula, agente de formation

Audrey Joyal, agente de formation                      

Karisa Karmali, personne-ressource

1. Ouverture de la séance

K. Skanes ouvre la séance à 9 h 20 (HAE) le 7 juillet 2017, à l’Hôtel Hilton Lac-Leamy, à Gatineau (Québec).

2. Adoption de l’ordre du jour

Les points à l’ordre du jour sont adoptés, mais de nouveaux points seront discutés.

K. Skanes explique que l’objectif principal de la réunion est de faire en sorte que tout soit prêt pour sa présentation au Conseil d’administration, qui aura lieu en août.

Les documents produits à la suite de la réunion d’aujourd’hui devront être traduits à temps.

L’ordre du jour est adopté. Motion proposée par P. Josza, appuyé par R. Tellier. Adoptée.

3. Approbation du procès-verbal de la dernière réunion

Le procès-verbal de la réunion que le Comité d’apprentissage et de formation a tenue le 1er avril 2017 est approuvé. Motion proposée par K. Laing, appuyé par P. Josza. Adoptée.

4. Affaires découlant de la dernière réunion

4. a) Examen des points de suivi

Les points de suivi sont examinés et ajoutés à la liste des suivis. 

4. b) Aperçu des résultats du sondage par Kim Skanes

K. Skanes discute des résultats et I. Saula explique que le sondage a été effectué auprès d’un échantillon aléatoire. La firme de recherche a confirmé que l’échantillon représentait bien le profil démographique de l’ensemble de l’IPFPC.

G. Bulmer propose que l’on fasse un tirage de prix pour récompenser les membres qui suivent des cours au lieu de donner des incitatifs qui sont réservés à ceux qui s’inscrivent.

R. Tellier souligne l’importance de garder une formation interne malgré la mise en place de la formation en ligne, surtout pour les cours qui sont de nature politique et nécessitent une certaine mobilisation.

I. Saula affirme que l’apprentissage en ligne est censé être combiné à la formation interne (lorsque c’est approprié) et non pas la remplacer. L’apprentissage en ligne est un complément des écoles de formation syndicale.

Même si certains membres aiment les cours de fin de semaine, P. Josza souligne les obstacles logistiques des samedis lorsque les sessions de formation ont lieu du jeudi au samedi. Des séances de formation d’une demi-heure pourraient être ajoutées à la formation interne afin de mieux convenir aux horaires chargés. Il s’agira probablement d’un sujet permanent de discussion.

R. Tellier avertit le Comité des conséquences budgétaires qu’entraînerait la transformation du modèle actuel des écoles syndicales en séances de formation pendant la semaine. Il faudrait examiner les chiffres avant de changer de modèle. 

Pour conclure la discussion sur les résultats du sondage, I. Saula rappelle que ces résultats reflètent diverses opinions, y compris celles de membres qui ne sont jamais entendus. L’échantillon établi par la firme Viewpoints Research est représentatif.

Structure des cours

K. Skanes indique que la structure des cours de trois jours devra peut-être être révisée. Dans la région de l’Atlantique, certains membres ne veulent pas faire des cours de trois jours et préfèrent se limiter aux formations de deux jours. Étant donné les déplacements requis, il est nécessaire de fournir des formations de deux jours et demi.

G. Bulmer fait savoir que dans la RCN, on fait des exceptions pour les membres qui demandent d’assister à une formation pendant deux jours. Toutefois, c’est l’exception et non la règle. Il faudrait accorder la priorité aux délégués syndicaux éventuels qui sont en mesure d’assister à la totalité de la formation. 

P. MacDougall indique que dans la région de la C.-B. et du Yukon toutes les classes ont été remplies et que, par conséquent, ce genre de problème ne s’est pas présenté.

L’importance du mentorat comme le montrent les résultats du sondage

R. Tellier fait remarquer qu’en octobre, dans la région du Québec, la session de formation avancée aura lieu en même temps que la formation de base des délégués syndicaux. Cela devrait encourager et renforcer le mentorat des nouveaux délégués syndicaux.

G. Bulmer propose que l’on établisse des critères à remplir pour devenir mentor.

Politique sur l’utilisation des médias sociaux

Une brève discussion sur la nécessité d’une politique sur l’utilisation des médias sociaux s’amorce et P. Josza cite l’exemple de la page Facebook du groupe CS étant donné qu’elle n’est pas gérée par l’IPFPC.

K. Skanes clôt la discussion en disant qu’une politique ne relèverait pas de la responsabilité du CAF.

4. c) Modèle actuel et nouveau modèle — K. Skanes

Le modèle actuel comprend les écoles de formation syndicale régionales, la formation de base et la formation en ligne.

K. Skanes indique qu’une fois que le Conseil aura approuvé le nouveau modèle, les critères de sélection des participants seront examinés. L’idée est d’établir des critères de sélection pour la formation qui soient applicables dans toutes les régions et appropriés pour la formation nationale.

Bien entendu, il y aura des nuances régionales dont il faudra tenir compte. Le point de départ consiste à élaborer des critères d’ensemble.

G. Bulmer est d’avis que l’utilisation de la demande en ligne pour l’AGA faciliterait le processus de sélection.

K. Laing rappelle au Comité une discussion qui a eu lieu lors d’une réunion précédente sur l’utilisation d’une grille. Cette grille montrerait quelle formation le membre (à n’importe quel niveau) a le droit de suivre tout en indiquant les conditions préalables.

Le nouveau modèle de formation est accepté à l’unanimité par les membres du Comité et sera présenté au Conseil d’administration au mois d’août.

Principes directeurs

Le document a été révisé en temps réel ; la version finale se trouve à l’annexe A[1].

4. d) Délégués syndicaux libérés — K. Laing

K. Laing explique que, lorsque la situation des délégués syndicaux libérés a été présentée dans les Prairies, la plupart d’entre eux ont estimé qu’ils devraient se faire connaître à l’IPFPC, sinon il pourrait y avoir un problème de confiance et un manque de transparence. Il pense qu’il serait idéal de faire part de cette réaction au Conseil d’administration.

K. Skanes continuera de travailler sur ce sujet et obtiendra les notes de S. Bittman.

4. e) Niveaux et rôle des délégués syndicaux

K. Skanes dit qu’il faut examiner les politiques en pensant à la façon dont elles peuvent être adaptées. Si le Conseil d’administration donne son approbation, l’étape suivante consistera à réserver une heure pendant les conseils des délégués syndicaux (ou bien juste avant ou juste après) pour cette réorganisation de la formation. Cette heure serait consacrée à un exposé sur le rôle du délégué syndical, qui serait préparé à l’avance et normalisé pour pouvoir être présenté dans tout le pays.

Le document a été révisé en temps réel; la version finale se trouve à l’annexe B[2].

L’exposé présentera les changements de niveaux et permettra aux délégués syndicaux de s’auto-identifier.

Précision sur l’exposé

K. Skanes propose que l’on distribue des cartes d’auto-identification aux délégués syndicaux pendant l’exposé. Les échelons « 1-2-3 » aideront les délégués syndicaux à déterminer à quel niveau ils se situent. Ces échelons leur permettront également de voir s’ils veulent rester au niveau 1 ou avoir une formation progressive. On pourra ainsi déterminer une partie des critères (c’est-à-dire qui reçoit quelle formation). Après la réunion du Conseil d’administration, ce sera l’étape suivante qui devrait se dérouler rapidement.   

Qui fera l’exposé et comment il sera présenté

Même si la plupart des régions ont des horaires chargés pour leur conseil des délégués syndicaux, elles devront incorporer à leur programme une heure pour l’exposé, une période de questions et un exercice d’auto-identification des délégués syndicaux. K. Skanes, I. Saula et N.Lamarche présenteront les exposés dans la mesure du possible. L’objectif final sera de faire en sorte que le message soit aussi constant que possible.

4. f) Où en est-on avec les dîners d’information — K. Laing

La discussion sur le processus des dîners d’information est laissée pour la discussion sur le point de suivi concernant les idées de page de renvoi pour les demandes spéciales (K. Laing et P. Josza).

4. g) Où en est-on avec les modules de formation en ligne — K. Laing

K. Laing fait remarquer que dans la région des Prairies et des T.N.-O., les délégués syndicaux sont d’accord pour dire que la formation en classe unit les délégués et favorise le militantisme. Cela dit, il y a un intérêt croissant pour les modules courts de formation en ligne, car ils permettent aux délégués de s’acquitter de leurs obligations familiales et sont plus gérables dans l’ensemble.

4. h) Annonces aux membres, annonces d’activités, participation facultative en dehors des heures normales

K. Laing propose que l’on envoie un avis aux membres pour leur rappeler que la formation le samedi est facultative. Par ailleurs, R. Tellier fait remarquer que bien que les membres ne soient pas payés pour assister à la formation, la perte de salaire est remboursée.

Un exemple d’avis a été envoyé par C. Hynes et est joint en annexe C[3]. Cet exemple peut être utilisé et modifié selon les besoins.

5. Affaires nouvelles

5. a) Employeurs distincts : législation régionale, provinciale et territoriale

K. Skanes mentionne qu’une formation propre aux groupes concernés sera organisée à l’échelle nationale pour les groupes VFS et CS tandis que la formation pour le groupe des employeurs distincts n’aura lieu qu’à l’échelle régionale.

Différences régionales

Point de suivi : les membres du Comité doivent déterminer les lois provinciales qui s’appliquent à leur région. On pourra ainsi déterminer quels cours peuvent être inclusifs et quels sont ceux qui doivent être personnalisés.

K. Skanes mentionne que dans le cadre de la consultation, les employeurs distincts ont exprimé la nécessité d’avoir une formation inclusive tout en tenant compte de leur législation particulière. Afin de répondre à la demande des employeurs distincts, il pourrait être nécessaire d’apporter des changements à la formation actuelle et d’élaborer de nouveaux modules spécialement conçus pour répondre à leurs besoins.

K. Laing admet que le nombre de membres travaillant pour les employeurs distincts est en croissance et qu’il faut répondre à leurs besoins si l’Institut veut continuer à recruter des membres dont l’employeur n’est pas le SCT.

6. Rapports régionaux

Pacifique

P. MacDougall informe le Comité que la région du Pacifique a tenu sa formation avancée en avril 2017; c’était un cours complet et il y avait une liste d’attente. La région a également organisé des dîners d’information qui ont eu beaucoup de succès.

Prairies

K. Laing fait savoir que, comme dans la région du Pacifique, l’école de formation syndicale avancée et la formation de base des Prairies ont eu du succès. L’exposé que K. Laing présente au Comité a été bien accueilli au Conseil régional. De plus, le taux de recrutement de délégués syndicaux augmente.

Ontario

P. Josza parle de budget et fait remarquer que parmi toutes les régions, c’est l’Ontario qui a le plus petit budget. Toutefois, située à côté de la RCN, la région de l’Ontario a le plus grand nombre de membres et de délégués syndicaux. De nouveaux délégués syndicaux s’inscrivent à un rythme sans précédent et les formations de base et les écoles de formation syndicale ont toutes une liste d’attente. 

Région de la capitale nationale

G. Bulmer propose qu’au cours des prochaines réunions, on discute des budgets pour la formation donnée à l’échelle nationale.

Il avertit le Comité que la structure de la formation de la RCN devra peut-être changer. L’école d’automne aura lieu deux fois au lieu de trois comme d’habitude. Il n’y aura qu’une seule formation de base et non pas deux étant donné qu’il n’y a pas suffisamment de ressources. Organiser trois petites sessions de formation au lieu de deux grandes pourrait être une bonne idée. L’idée d’une rencontre des nouveaux délégués syndicaux avec les délégués chevronnés demeure valide. Les formations nationales seront examinées, car il est préférable qu’il y ait un mois de la SST. La RCN planifie aussi son Conseil des délégués syndicaux.

Région du Québec

R. Tellier mentionne la planification de la formation de base pour l’automne. La formation en SST sera la même que l’an passé à l’exception que le cours ne comprendra qu’un seul module.

Région de l’Atlantique

C. Hynes mentionne que les cours ont été très réussis cette année. La formation sur les organismes constituants a eu une assistance moins nombreuse que prévu à cause d’une tempête. La région est à la phase de planification de son Conseil des délégués syndicaux et le CRA a été très réussi. L’exercice sur la préparation de motions a été bien accueilli. En ce qui concerne la formation de base des délégués syndicaux prévue pour le mois de septembre, le cours est plein et il y a une liste d’attente.

7. Tour de table

7. a) Guide de ressources en santé mentale de l’IPFPC (Terminé) — Formation

A. Joyal présente la finalisation du Guide de ressources en santé mentale, la première ressource officielle de l’IPFPC en matière de santé mentale. En ce qui concerne la production, le guide prendrait la forme d’un magazine; une discussion sur la meilleure méthode de diffusion parmi les membres est amorcée.

Le Comité décide que la promotion du Guide se fera par tous les canaux possibles : médias sociaux, conseils des délégués syndicaux, AGA…

P. Josza propose que D. Daviau mentionne la publication du Guide dans les médias et que la promotion soit reprise par le comité de Liaison avec les chapitres pour faciliter une stratégie de médias sociaux.

G. Bulmer propose d’ajouter le 211 comme ressource et K. Skanes mentionne l’ajout d’un lien au site Web du 211, qui donne la liste des régions couvertes par le service. 

Que le Guide soit imprimé ou publié en ligne ou les deux, K. Skanes propose qu’il fasse partie de la documentation remise au Conseil des délégués syndicaux (le guide en format papier ou une carte indiquant son adresse Internet).

G. Bulmer propose que l’adresse Internet du Guide de ressources en santé mentale soit imprimée sur des signets, qui pourraient se retrouver dans la documentation des délégués syndicaux.

K. Laing fait remarquer qu’à cause du Guide de ressources en santé mentale, une demande de cours portant sur la santé mentale est maintenant créée.

I. Saula confirme que la Section de la formation est en train de travailler à une formation sur la santé mentale.

9. Fréquence des réunions du CAF

Une discussion est lancée sur la fréquence des réunions du CAF et le Comité devra déterminer les disponibilités de ses membres.

10. Prochaine réunion

K. Skanes dit que la prochaine réunion du CAF doit avoir lieu un lundi, un vendredi ou un samedi de septembre ou d’octobre.

Tous les membres doivent avoir un remplaçant au cas où ils ne pourraient pas assister à la réunion.

11. Levée de la séance

La séance est levée à 17 h (HAE).

ANNEXE A

Principes directeurs, version no 3

Le programme d’apprentissage et de formation de l’Institut est fondé sur les grands principes suivants :

1. Responsabilité – Apprendre doit servir à quelque chose (objectif).

  • La formation d’un membre est conçue pour l’aider à jouer son rôle de professionnel dans le milieu de travail. La formation d’un délégué syndical est conçue pour l’aider à jouer et à renforcer son rôle de représentant à l’Institut.
  • Le programme de formation a pour objectif d’intégrer le savoir dans l’action. Pour respecter ces principes, des processus doivent être mis en place pour assurer l’uniformité des documents d’apprentissage et des formations et permettre l’évaluation régulière des résultats d’apprentissage des délégués syndicaux et des membres.

2. Autonomisation, inclusivité et flexibilité

  • Offrir un cheminement visant à bâtir la confiance au moyen de l'apprentissage et de l'expérience.
  • Pour atteindre leurs objectifs, les apprenants doivent être parties prenantes de leur apprentissage.
  • Grâce à une plateforme d’autoapprentissage où l’on avance à son rythme et à des domaines de spécialisation, les apprenants peuvent contrôler leurs progrès en fonction de leurs capacités, de leurs disponibilités et de leurs intérêts.
  • L’apprentissage doit reposer sur les concepts de diversité, de flexibilité et de pleine participation.
  • Le programme est flexible dans la mesure où la formation est offerte sur diverses plateformes d’apprentissage et dans les écoles syndicales, ce qui la rend accessible à plus de membres de l’Institut à tous les niveaux.

3. Nature évolutive : Le Programme d’apprentissage et de formation s’adapte aux besoins, actuels et futurs.

  • Des réunions régulièrement tenues entre le bureau national et le Comité de l’apprentissage et de la formation, des sondages auprès des membres, les bureaux régionaux et divers sous-ensembles de membres permettent de déterminer les besoins en formation et d’établir les priorités de formation en fonction des nouveaux besoins.

ANNEXE B

Le rôle du délégué syndical

  • l’IPFPC, le rôle du délégué syndical est polyvalent car il contribue à la plupart des activités du syndicat, sinon toutes. Le délégué syndical est probablement le premier représentant de l’IPFPC qu’un membre rencontre, et c’est souvent cette première impression qui sera la plus marquante pour le membre.

Un délégué syndical peut assumer divers rôles au sein de l’organisation. Selon ses rôles, il peut appartenir à l’une des trois catégories suivantes :

  1. Délégué syndical 1 : Information
  2. Délégué syndical 2 : Intermédiaire
  3. Délégué syndical 3 : Avancé

Voici les fonctions possibles d’un délégué syndical:

  1. Formateur
  2. Communicateur
  3. Représentant
  4. Meneur
  5. Mobilisateur
  6. Rassembleur et planificateur

Délégué syndical 1 : Information

Il est disponible et visible au travail. Il est le premier contact du membre, chargé de l’informer et de lui communiquer de l’information. Les attentes à son égard : aider à distribuer des documents aux membres; rencontrer les nouveaux syndiqués et les aider à devenir membres à part entière du syndicat; avoir une connaissance fonctionnelle du site Web de l’Institut afin d’indiquer aux membres où se trouve l’information qu’ils cherchent; pouvoir répondre à des questions sur la structure de l’IPFPC; avoir une certaine compréhension du processus de négociation collective; être capable d’interpréter la convention collective.

Délégué syndical 2 : Intermédiaire

En plus de donner de l’information, le délégué syndical intermédiaire : représente les membres dans le cadre des processus informels de règlement des différends; dépose des griefs pour eux; siège à des comités de travail à titre de représentant syndical; peut faire partie d’une équipe de consultation locale ou régionale; contribue aux efforts de lobbyisme du syndicat.

Délégué syndical 3 : Avancé

Les attentes envers le délégué syndical avancé sont bien plus nombreuses. Il représente les membres qui font l’objet de sanctions, de harcèlement ou d’une obligation d’adaptation, en plus des griefs; il encadre d’autres délégués syndicaux; il contribue à leur formation, dispensée officiellement ou non; il peut faire partie d’une équipe nationale de consultation; et il peut siéger bénévolement aux comités du Conseil d’administration.


[1] Annexe A : Principes directeurs

[2] Annexe B : Rôle du délégué syndical