Le gouvernement de l’Ontario a annoncé que les travailleurs de la santé de première ligne toucheront une prime de pandémie. Ces travailleurs sont essentiels aux efforts en cours pour protéger les Ontariens et réduire l’incidence de la COVID-19. Leurs sacrifices et leur dévouement au service sont remarquables.
Le programme publié donne des exemples de travailleurs qui recevront une rémunération pandémique, mais n’en dresse pas une liste exhaustive.
La liste n’est toujours pas disponible.
Nous avons écrit aux présidents et aux directeurs généraux des hôpitaux où travaillent nos membres en les implorant d’écrire au gouvernement Ford au nom de leurs travailleurs. Plus tôt ce mois-ci, nous avons écrit au premier ministre Ford pour lui demander de confirmer que nos membres qui travaillent en première ligne recevront bel et bien une prime de pandémie. Le bureau du premier ministre ne nous a toujours pas répondu.
Lisez la lettre (en anglais) que nous avons envoyée aux présidents et aux directeurs généraux.
Jean Bartkowiak, président et directeur général du Centre régional des sciences de la santé de Thunder Bay, a écrit au premier ministre et au ministre de la Santé pour leur demander de verser la prime de pandémie à tous les employés des hôpitaux, à l’exception des directeurs généraux.
David Musyj, président et directeur général de l’hôpital régional de Windsor, a écrit au premier ministre et s’est prononcé publiquement en faveur du versement de la prime de pandémie à tous les travailleurs de la santé de première ligne.
Rob MacIsaac, président et directeur général de Hamilton Health Sciences, a répondu à notre appel et s’est engagé à écrire au premier ministre.
Nos radiothérapeutes font un travail d’une grande importance. Ils sont soumis aux dispositions de l’état d’urgence de l’Ontario et sont considérés comme des travailleurs essentiels qui ne peuvent pas refuser un travail dangereux.
Il est temps que le gouvernement Ford reconnaisse vos contributions en cette période sans précédent.
Nous vous enverrons d'autres nouvelles dès que nous en saurons plus.