L'Institut professionnel de la fonction publique du Canada

Le combat pour défendre les pensions aux Laboratoires nucléaires canadiens

La protection des pensions de nos membres est une priorité absolue à l’Institut. C’est pourquoi, au cours de la dernière année, nous nous sommes battus si fort pour que nos membres des Laboratoires nucléaires canadiens (LNC) continuent de participer au Régime de retraite de la fonction publique. Le gouvernement Harper a exclu les travailleurs du nucléaire du Régime de pension de retraite de la fonction publique sans mener de discussions ou de consultations. Comme nous le savons tous, les employés des LNC ont joué un rôle essentiel dans la conception d’isotopes médicaux sûrs pour diagnostiquer et traiter les maladies.

L’Institut s’est allié à d’autres syndicats représentant les travailleurs des LNC pour former l’Alliance canadienne des travailleurs du nucléaire (ACTN). Ce groupe, dont le président du CRPEG, Jonathan Fitzpatrick, est un membre actif, a fait pression pour que les membres demeurent dans le régime. Il a également lancé une campagne ciblée sur le Web et dans les médias sociaux pour que la population soutienne ces travailleurs et pour faire pression sur les principaux décideurs.

Bref, tout ce que nos membres demandent, c’est de ravoir ce qui leur a été injustement pris. Il est temps que le premier ministre revienne sur les décisions idéologiques de son prédécesseur et qu’il traite le personnel des installations nucléaires fédérales avec le respect dû à ces fonctionnaires d’exception.

Le 5 juin, j’ai participé à une manifestation avec des membres de notre groupe EPCR, d’autres syndicats et des sympathisants. Devant les bureaux du Conseil du Trésor, nous avons exigé que les employés des LNC récupèrent leur pension. (Vous pouvez regarder la vidéo de mon discours ici.) Cette semaine, j’ai également eu l’occasion de me joindre à Jonathan Fitzpatrick, aux membres de la coalition et au député Daniel Blaikie pour remettre des milliers de lettres d’employés des LNC au premier ministre et au président du Conseil du Trésor. La conférence de presse peut être visionnée ici sur la chaîne CPAC.

Veuillez prendre un instant pour rallier la campagne de soutien aux travailleurs canadiens du nucléaire et appuyer vos consœurs et confrères syndicaux en vous rendant sur le site d’action de l’ACTN et en vous joignant au groupe Facebook.

Bien mieux ensemble!

Debi Daviau


27 février 2018
À l'approche de la « saison de l’impôt », le gouvernement a récemment mis à jour l'information disponible en ligne concernant trois types de réclamations financières liées au système de paye Phénix : les demandes d’avance pour des prestations du gouvernement; les demandes de remboursement de conseils fiscaux; et les réclamations de dépenses personnelles.

20 février 2018
La semaine dernière, j’ai été invitée à rencontrer le Groupe de travail ministériel chargé d’arranger Phénix pour discuter de solutions potentielles. La dernière fois que je l'ai rencontré, c'était en juin 2017 et depuis, malheureusement, nous n'avons pratiquement pas progressé. En fait, les problèmes continuent même de s'aggraver.

12 février 2018
Le 6 février 2018, la présidente de l’Institut, Debi Daviau, a dirigé une délégation d’une douzaine de membres de l’Institut sur la Colline du Parlement d’Ottawa, dans le cadre de la Journée de lobbying annuelle du Congrès du travail du Canada (CTC).

9 février 2018
Le 5 février 2018 Les 55 syndicats représentés au sein du Conseil canadien du Congrès du travail du Canada (CTC) reconnaissent unanimement que lorsqu’un des affiliés du CTC se fait attaquer, c’est notre mouvement entier qui se fait attaquer.

2 février 2018
Le 29 janvier 2018, Debi Daviau, présidente de l’IPFPC, a rencontré pour la première fois la ministre du Revenu, Diane Lebouthillier, dans les locaux de l’Agence du revenu du Canada, à Ottawa.

1 février 2018
J’ai récemment écrit au président du Conseil du Trésor, Scott Brison, pour exprimer ma déception après avoir été informée que le gouvernement ne sera probablement pas en mesure de traiter les demandes relatives aux paiements en trop signalées avant la date limite du 19 janvier 2018.