AVIS DE CONVOCATION
À TOUS LES MEMBRES DU CHAPITRE DE SHERBROOKE DE L’INSTITUT PROFESSIONNEL DE LA FONCTION PUBLIQUE DU CANADA
À titre de membre, vous êtes invité à assister à Assemblée Annuelle Générale (AGA) du Chapitre de Sherbrooke
Date : Mercredi le 17 octobre 2018
Heure : 17h30
Endroit : Salon du Billard de Sherbrooke
1239 Rue Denault, Sherbrooke, QC J1H 2P6
La Semaine de sensibilisation aux maladies mentales (SSMM) est une campagne nationale annuelle de sensibilisation du public coordonnée par l’Alliance canadienne pour la maladie mentale et la santé mentale (ACMMSM) et conçue pour aider les Canadiennes et les Canadiens à comprendre la réalité de la maladie mentale.
La maladie mentale touche plus de six millions de personnes au Canada, soit plus d’une personne sur cinq. (http://www.camimh.ca/fr/ssmm/a-propos-de-ssmm/) Cette semaine est l’occasion de faire la lumière sur les préjugés défavorables à l’égard de la maladie mentale et de travailler à créer une société où il est facile pour les personnes souffrant de maladie mentale d’obtenir l’aide dont elles ont besoin. La Semaine de sensibilisation aux maladies mentales vise à nous faire prendre conscience du lourd fardeau caché que la maladie mentale représente pour nous tous.
Afin d’accroître la sensibilisation et de réduire la stigmatisation, la SSMM présente des Visages des maladies mentales, donnant à des personnes souffrant de maladies mentales l’occasion de partager leur histoire.
Le Guide de ressources en santé mentale de l’IPFPC est disponible en ligne. Il foisonne de conseils pour vous aider à reconnaître les signes de maladie mentale, à entamer des conversations délicates et à trouver les ressources pour obtenir l’aide nécessaire. Nous avons tous un rôle à jouer pour vaincre les préjugés défavorables et créer une société où il est facile pour tous d’obtenir de l’aide en matière de maladie mentale.
Rapport d’évaluation de la présidente — 2018
Lorsque je m’attarde à nos réalisations de la dernière année, je suis heureuse de voir combien un grand nombre d’entre elles sont le résultat d’une planification délibérée et à long terme, qui a commencé non seulement avant 2018, mais également avant les dernières élections fédérales.
Bonjour, confrères et consoeurs du groupe NUREG
Votre exécutif et vos délégués syndicaux du NUREG veulent aider par tous les moyens possibles les victimes des tornades dévastatrices qui se sont abattues sur Ottawa et Gatineau. Même si notre Groupe n’a pas pour mandat de fournir une aide organisée en cas de catastrophe comme celle-ci, je sais que nous avons tous et toutes envie d’essayer d’atténuer les grandes difficultés qu’éprouvent nos ami(e)s et collègues touché(e)s.
ACIA – MÉDECINE VÉTÉRINAIRE (VM)
septembre 2018
APPEL DE CANDIDATURES
Conformément aux statuts du groupe ACIA-VM, les postes suivants de l'exécutif du groupe ACIA-VM doivent être pourvus :
Cette semaine, les Canadiennes et les Canadiens soulignent la première Semaine de l’égalité entre les sexes au pays. Le 21 juin 2018, le projet de loi C-309 a été adopté et la quatrième semaine de septembre est devenue la Semaine canadienne de l’égalité entre les sexes.
Le thème de cette année, «L’égalité des sexes, c’est bon pour tout le monde » (#BonPourTLM), rend compte des bienfaits universels de l’égalité des sexes. L’équité, la prospérité économique, la santé, le bonheur, la paix, la sécurité et des possibilités illimitées sont parmi les nombreux avantages de l’égalité des sexes promus par le gouvernement du Canada. Pour en savoir plus, consultez : www.swc-cfc.gc.ca/commemoration/gew-ses/about-apropos-fr.html.
L'Institut professionnel de la fonction publique du Canada représente 57 000 professionnels du secteur public canadien, dont plus de 40 % sont des femmes, et dont la vaste majorité oeuvre au centre de la fonction publique fédérale.
Le droit des femmes à un salaire égal pour un travail de valeur égale est renforcé au Canada par la ratification de la Convention sur l'élimination de toutes les formes de discrimination à l'égard des femmes et d'autres instruments internationaux des droits de la personne ainsi que la Loi canadienne sur les droits de la personne.
Néanmoins, depuis près de 10 ans, il y a des lacunes au niveau de l'équité salariale dans la fonction publique fédérale compte tenu du taux relativement élevé de syndicalisation et de la féminisation croissante des effectifs. Il est donc urgent d'avoir une loi sur l'équité salariale qui nous donnera de vrais moyens proactifs et rapides pour mettre en oeuvre l'équité salariale et tiendra notamment compte des obligations existantes relativement aux droits de la personne, des leçons tirées de l'expérience passée et de la jurisprudence en matière d'équité salariale. L'Institut est d'avis qu'un régime d'équité salariale fédéral proactif constitue une étape cruciale, attendue depuis trop longtemps, pour obtenir un secteur du travail juste et fonctionnel.
Cette année, le Congrès du travail du Canada s’est joint aux organisations de femmes de partout au pays pour réclamer l’élimination de la discrimination salariale au Canada.
« L’un des obstacles les plus persistants à l’égalité entre les sexes au Canada est la discrimination salariale. Les femmes représentent près de la moitié de la main-d’œuvre canadienne, mais dans l’ensemble, elles gagnent 32 % de moins que les hommes. Les femmes de couleur, les femmes autochtones et les femmes handicapées (ou qui ont une combinaison de ces caractéristiques) gagnent encore moins que les femmes blanches et valides. »
Le président du CTC, Hassan Yussuff, le souligne dans un éditorial du Toronto Sun. (https://torontosun.com/opinion/columnists/yussuff-time-for-government-to-walk-the-walk-on-pay-equity) (article en anglais). Le CTC demande au gouvernement fédéral de créer un commissaire autonome axé sur l’équité salariale qui serait dirigé par la Commission de l’équité salariale.
Ce sont les femmes autochtones du Canada qui souffrent de l’écart salarial le plus important. Au Canada, les femmes autochtones gagnent 63 cents pour chaque dollar gagné par un homme non autochtone. (www.canadianwomen.org/fr/) En cette Semaine de l’égalité entre les sexes, l’Association des femmes autochtones du Canada demande l’inclusion des femmes autochtones dans le débat public sur l’égalité des sexes au Canada.
L’Institut s’associe aux organisations de femmes et au mouvement syndical pour demander une résolution active de l’écart de rémunération entre les hommes et les femmes au Canada. Tout le monde en bénéficie lorsque toutes les femmes reçoivent un salaire égal pour un même travail.
OTTAWA, le 28 septembre 2018 — Alors que le Comité fédéral des finances se prépare aux audiences publiques pancanadiennes sur le budget de l’an prochain, l’Institut professionnel de la fonction publique du Canada (IPFPC) publie une fiche d’information démontrant que 72 % des Canadiens conviennent que « dans le prochain budget fédéral, le financement des programmes scientifiques du gouvernement fédéral devrait être rétabli à ce qu’il était en 2011 ». Cette constatation d’Environics Research est importante étant donné que le financement global pour la science fédérale est en fait plus bas aujourd’hui qu’il ne l’était sous le gouvernement Harper, notamment en recherche et développement (R et D).
Bien que les chiffres de Statistique Canada indiquent que le financement global des activités scientifiques du gouvernement a augmenté de 10,4 milliards de dollars en 2015-2016 à 11,3 milliards de dollars en 2018-2019, les dépenses réelles devraient être inférieures de 112 millions de dollars en 2018-2019 à celles de 2014-2015.
Pire encore, les dépenses en R et D effectuées par les scientifiques du gouvernement ont diminué de 891 millions de dollars par rapport à 2010-2011 sous le gouvernement Harper.
Alors qu’une partie du financement scientifique a été transféré au secteur privé pour encourager l’innovation, la R et D effectuée par les scientifiques fédéraux a fortement diminué.
« La force du réseau de R et D au Canada dépend d’une présence solide du gouvernement fédéral », selon la présidente de l’IPFPC, Debi Daviau. « Nous ne pouvons pas compter seulement sur le secteur privé pour obtenir les innovations nécessaires. Souvent, les innovations dont nous avons le plus besoin, par exemple, de meilleures prévisions météorologiques, des cultures plus résistantes, une meilleure surveillance de la pollution, sont le fruit de la R et D dans des secteurs relevant directement de la responsabilité du gouvernement fédéral, et c’est pourquoi nous demandons un financement accru dans le budget de l’an prochain. »
Les chiffres de StatCan renforcent les constatations d’un sondage de 2017 mené auprès des scientifiques fédéraux, selon lesquelles plus de la moitié (58 %) des scientifiques croient que leur ministère ne dispose pas des ressources suffisantes pour s’acquitter de son mandat. Le problème est particulièrement prononcé à l’Agence spatiale canadienne (79 %), à Ressources naturelles Canada (64 %) et même à Environnement et Changement climatique Canada, où 60 % des scientifiques ne croient pas que leur ministère dispose des ressources suffisantes.
Environics Research a mené son sondage d’opinion publique (commandé par l’IPFPC) par téléphone auprès de 1000 Canadiens entre le 3 et le 8 juillet 2018. Sa marge d’erreur est de ± 3,2 %, 19 fois sur 20.
Une invitation à participer au sondage en ligne préparé par Environics Research et destiné aux scientifiques fédéraux a été envoyée à 16 377 scientifiques, chercheurs et ingénieurs dans plus de 40 ministères et organismes fédéraux. De ce nombre, 3025 (18,5 %) ont répondu entre le 29 mai et le 27 juin 2017. La marge d’erreur des résultats du sondage est de ± 1,8 %, 19 fois sur 20.
L’Institut professionnel de la fonction publique du Canada représente 55 000 professionnels du secteur public du Canada, dont quelque 16 000 scientifiques, ingénieurs et chercheurs, la plupart à l’emploi du gouvernement fédéral.
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Source :
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