(Traduit de l’anglais)
Les 8 et 9 novembre 2024, au Sheraton Centre Hotel, à Toronto (Ontario).
INSCRIPTION EN LIGNE
Du 19 août au 20 septembre 2024 – Une fois qu’ils/elles ont été sélectionné·es pour participer à l’AGA 2024 de l’IPFPC, l’ensemble des délégué·es et observateur·rices virtuel·les doivent remplir le formulaire d’inscription en ligne. Veuillez noter que la date limite d’inscription sera strictement maintenue.
PROCESSUS DE SÉLECTION DES DÉLÉGUÉ·ES
Les président·es de groupe et les directeur·rices régionaux devront soumettre leurs listes de délégué·es/remplaçant·es et d’observateur·rices virtuel·les à l’aide de ce formulaire au plus tard le vendredi 26 juillet 2024 à 17 h HE.
Quand le Bureau national aura reçu les listes, il enverra un courriel aux délégué·es et aux observateur·rices virtuel·les pour les inviter à s’inscrire en ligne. Veuillez noter que les délégué·es et les observateur·rices virtuel·les ne pourront pas s’inscrire avant que la liste approuvée des groupes ou des régions n’ait été reçue, examinée et vérifiée.
Le nombre de délégué·es à l’AGA est établi à l’article 13 des statuts et doit respecter cette formule.
DÉLAIS DE SUBSTITUTION
La date limite pour toute modification du statut de participation d’un·e délégué·e est le jeudi 31 octobre 2024.
Délégué·es en personne :
Si un·e délégué·e en personne choisit de passer d’une participation en personne à une participation virtuelle, il/elle doit en informer l’équipe de l’AGA avant le jeudi 31 octobre 2024.
Si un·e délégué·e en personne doit annuler complètement sa participation à l’AGA, il/elle doit en informer l’équipe de l’AGA avant le jeudi 31 octobre 2024. L’exécutif d’un groupe ou d’une région peut alors promouvoir ou nommer un·e délégué·e remplaçant·e en personne.
Si un·e délégué·e en personne annule sa participation moins d’une semaine avant le début de l’AGA (après le jeudi 31 octobre 2024), aucun·e remplaçant·e ne sera autorisé·e à s’inscrire pour participer en personne.
Délégué·es virtuel·les :
Si un·e délégué·e virtuel·le doit annuler complètement sa participation à l’AGA, il/elle doit en informer l’équipe de l’AGA avant le vendredi 27 septembre 2024. L’exécutif d’un groupe ou d’une région peut alors promouvoir ou nommer un·e délégué·e remplaçant·e virtuel·le ou en personne.
Si un·e délégué·e virtuel·le doit annuler entièrement sa participation à l’AGA, mais ne respecte pas la date limite d’annulation du vendredi 27 septembre 2024, l’exécutif d’un groupe ou d’une région ne peut promouvoir ou nommer un·e délégué·e virtuel·e que jusqu’au jeudi 31 octobre 2024.
Si un·e délégué·e virtuel·le annule sa participation moins d’une semaine avant l’AGA (après le jeudi 31 octobre 2024), aucun·e remplaçant·e ne sera autorisé·e à s’inscrire.
MODIFICATION DES STATUTS DE L’INSTITUT
Conformément à l’article 13.1.4.1 : « Aucun article des statuts ne peut être adopté, abrogé ou modifié par l’assemblée générale annuelle sans que […] l’information concernant les modifications proposées est soumise au bureau du (de la) secrétaire(e) exécutif(-ive) au plus tard douze (12) semaines avant la tenue de l’assemblée générale annuelle ». Les propositions de modification des statuts doivent être soumises au plus tard le 16 août 2024 à resolutions@pipsc.ca.
MOTIONS
Conformément à l’article 13.1.4.3 : « Les motions doivent parvenir par écrit au bureau du (de la) secrétaire(e) exécutif(-ive) au moins douze (12) semaines avant l’assemblée générale annuelle ». Les motions doivent être soumises au plus tard le 16 août 2024 à resolutions@pipsc.ca.
Les motions destinées à l’AGA sont d’abord reçues par le Sous-comité des motions (SCM).
Le SCM a pour mandat de regrouper, de vérifier et de clarifier les motions à présenter à l’AGA. Il est à la disposition des auteur·es des motions et les conseille pour que le libellé soit clair et conforme aux statuts et politiques de l’Institut. Les auteur·es devraient soumettre les coûts liés à leur motion (motions financières) en même temps que cette dernière, à l’intention du SCM.
Pour des conseils sur la rédaction des motions, consultez le guide de poche intitulé Comment rédiger une motion.
COTISATIONS DE L’INSTITUT
Conformément à l’article 14.2.1 des statuts, qui s’applique aux cotisations, nous vous avisons par la présente qu’un changement touchant les cotisations mensuelles de base pourrait être proposé à l’AGA 2024.
CONSIDÉRATIONS POUR LES VOYAGES, RÉUNIONS ET ÉVÉNEMENTS
Nous nous efforçons d’être conscient·es de nos responsabilités fiscales et politiques lors de l’AGA de cette année. Les coûts liés à l’événement en personne sont gérés par le biais d’une évaluation rigoureuse et d’une consultation des membres. Nous étudions les moyens d’offrir aux membres une expérience de grande qualité tout en mettant en place des mesures de maîtrise des coûts. L’AGA est un exemple de « présence justifiée ». En tant qu’instance suprême de l’IPFPC, l’AGA permet non seulement aux membres de traiter les affaires syndicales importantes, mais aussi de nouer des liens et d’apprendre ensemble. Nous nous réjouissons des possibilités offertes par cet événement en personne, alors que nous nous unissons pour un changement positif.
Nous souhaitons répondre à certaines questions que nous avons reçues concernant l’organisation d’une AGA en personne ou virtuelle, dans le cadre des discussions en cours sur les mandats de retour au bureau, ainsi que du point de vue des coûts. La valeur de l’engagement en personne lors de l’AGA est significative. C’est l’occasion pour les membres de mener des activités importantes, de nouer des liens et d’apprendre ensemble, et cela n’a lieu qu’une fois par an. C’est un exemple de présence justifiée. Il est également important de noter que de tels événements sont planifiés des années à l’avance et que nous avons déjà des engagements contractuels. Sachez que nous prenons toutes les mesures possibles pour gérer efficacement tous les coûts liés à l’AGA, tout en offrant aux membres un événement de grande qualité. Comme par le passé, les membres auront la possibilité de donner leur avis sur tous les aspects de l’AGA, y compris le format, et les commentaires des membres seront pris en compte dans les décisions relatives aux événements futurs.
Pour les déplacements vers/depuis les aéroports ou les gares, nous fournirons aux délégué·es un code promo Uber qui pourra être utilisé pour couvrir le coût du transport. Si vous n’êtes pas à l’aise avec Uber, vous pouvez toujours être remboursé·e pour le transport en taxi.
Vous pourrez accéder à toutes les informations et ressources de l’AGA sur l’application mobile de l’AGA et le site Web de l’IPFPC en utilisant votre propre appareil. Les tablettes ne seront pas disponibles pour l’AGA de cette année, dans le cadre de nos mesures de maîtrise des coûts. Nous vous remercions de votre compréhension.
Les délégué·es à l’AGA 2024 de l’IPFPC peuvent se référer à la Politique sur les voyages.
Je vous invite à vous inscrire au programme de formation de membres animateurs de l’Institut.
Ce programme permet aux membres (qu’ils aient ou non des compétences en matière d’animation) de devenir animateur·rices.
Cette initiative prometteuse est une première pour l’Institut.
Les candidat·es accepté·es auront la possibilité de suivre une formation pratique pour apprendre à animer des ateliers en utilisant une approche d’éducation populaire.
La participation au programme vous aidera à faire ce qui suit :
- Renforcer notre syndicat
- Tisser des liens avec d’autres activistes
- Perfectionner vos compétences en matière de communication et d’animation
- Soutenir la formation des membres
Une formation sera organisée pour les candidat·es retenu·es du lundi 16 au vendredi 20 septembre à Ottawa en anglais.
Le processus de candidature dure environ 10 minutes.
Date limite d’envoi du formulaire de candidature : dimanche 14 juillet à 23h59 Heure de l'Est
Vos réponses sont strictement confidentielles.
Vos informations ne seront consultées que par le Comité d’apprentissage, de formation et de mentorat (CAFM) de l’Institut et par le personnel de l’Institut chargé de la formation.
Veuillez noter que la candidature ne garantit pas l’acceptation dans le programme, étant donné le nombre limité de places disponibles.
N’hésitez pas à m’adresser vos questions à education@pipsc.ca
Questions sur le programme de membres animateur·rices
Quel est l’objectif du programme de membres animateur·rices?
L’objectif du programme de membres animateur·rices est d’améliorer les compétences et les connaissances des membres afin de leur permettre d’animer efficacement des séances de formation entre pairs. Cette formation vise à combler les lacunes existantes en matière de formation, à soutenir le perfectionnement professionnel des délégué·es et des militant·es et à promouvoir leur engagement à long terme au sein du syndicat.
Que font les membres animateur·rices? Quel est leur rôle? Comment interagiront-ils/elles avec la communauté?
Les membres animateur·rices sont chargé·es d’animer des formations entre pairs et de favoriser un environnement d’apprentissage collaboratif au sein de l’Institut.
Leur rôle comprend ce qui suit :
- Animer des séances de formation : Organiser des ateliers, des séminaires et des séances de formation pour améliorer les compétences et les connaissances des membres.
- Promouvoir la mobilisation : Encourager la participation active et la mobilisation de tou·tes les membres pendant les séances de formation.
- Communiquer des pratiques exemplaires : Transmettre des pratiques exemplaires et des connaissances tirées de leur propre expérience à d’autres personnes.
Dans le cadre de leur interaction avec la communauté, les membres animateur·rices doivent :
- Établir des relations : Établir des relations solides et positives avec les membres et les délégué·es syndicaux.
- Favoriser un environnement collaboratif : Créer un environnement inclusif et collaboratif où tou·tes les membres se sentent valorisé·es, entendu·es et responsabilisé·es.
- Encourager l’apprentissage continu par l’éducation populaire : Promouvoir la culture de l’apprentissage continu par une approche d’éducation populaire.
Généralement, les membres animateur·rices jouent un rôle crucial dans le renforcement de notre syndicat en fournissant une formation et un soutien essentiels, en encourageant la mobilisation et en faisant la promotion d’une culture d’amélioration continue et de collaboration au sein de l’Institut.
Quel type d’ateliers doivent-ils/elles coanimer?
Les membres animateur·rices coanimeront des formations sur des sujets qui ne sont pas liés aux relations du travail, comme le développement du leadership, le règlement des différends, la lutte contre l’oppression, etc.
*Remarque : Les agent·es des relations du travail (ART) de l’Institut continueront à dispenser des cours sur les relations du travail, tels que la formation de base des délégué·es syndicaux, le traitement des griefs, l’interprétation des conventions collectives, les mesures disciplinaires, l’obligation d’adaptation, la santé et la sécurité au travail, etc.
Quelles sont les attentes à l’égard d’un·e membre animateur·rice après avoir terminé la formation?
Le programme de membres animateur·rices requiert un engagement de deux ans.
Les membres animateur·rices sont censé·es coanimer un ou deux ateliers par an, selon leur disponibilité.
Y aura-t-il des sessions de formation des membres animateur·rices à l’avenir?
Oui, le Comité d’apprentissage, de formation et de mentorat (CAFM) envisage d’offrir une session supplémentaire de formation des membres animateur·rices selon les besoins, avec une réévaluation annuelle.
Quand saurai-je si je vais participer au programme de membres animateur·rices 2024?
Nous prévoyons d'informer les participants de leur acceptation au programme de membres animateur·rices la semaine du 12 août 2024.
OTTAWA, le 5 juin 2024 – Ce jeudi midi, le 6 juin, les membres de l’Institut professionnel de la fonction publique du Canada (IPFPC) manifesteront devant le siège social de l’Agence du Revenu du Canada (ARC) à Ottawa en faveur des droits du télétravail.
Le vice-président de l’IPFPC, Sean O’Reilly et le président du Groupe VFS (Vérificateur, finances et sciences - ARC) de l’IPFPC, Doug Mason, questionneront la décision de l’ARC d’emboîter le pas au Conseil du trésor malgré le fait que cette dernière est un employeur distinct.
L’IPFPC soutient que l’enjeu va au-delà d’une journée de plus au bureau. Il s’agit plutôt de questions de mauvaise gestion du lieu de travail, de détérioration des conditions de travail et du manque de respect à l’endroit des travailleurs et travailleuses, ces personnes qui dispensent les services dont la population canadienne dépend.
Date : Le jeudi, 6 juin 2024
Heure : De midi à 12 h 45. Déclarations à 12 h 15
Lieu : Siège social de l’ARC, 555 avenue Mackenzie, OTTAWA (ON)
Porte-paroles :
- Sean O’Reilly, Vice-président, IPFPC
- Doug Mason, Président, Groupe VFS
L’Institut représente plus de 75 000 professionnel·les du secteur public un peu partout au pays, pour la plupart à l’emploi du gouvernement fédéral, dont plus de 16 000 membres du Groupe VFS travaillant à l’ARC. Suivez-nous sur Facebook sur X (anciennement connu sous le nom de Twitter) et sur Instagram.
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Source: Johanne Fillion, 613-883-4900 (cellulaire), jfillion@pipsc.ca
Après plus d'une décennie d'efforts de sollicitations dévoués, des progrès significatifs ont été réalisés pour les employés de la fonction publique en ce qui concerne les procédures administratives relatives aux prestations supplémentaires de décès (PSD). Depuis le 1er juin 2024, des changements importants ont été mis en œuvre, permettant aux particuliers de désigner jusqu'à cinq bénéficiaires des PSD.
Cette amélioration tant attendue des PSD, défendue par l'IPFPC, nos collègues des autres agents négociateurs et de l'association des retraités, représente une étape importante.
Auparavant, les PSD ne permettaient la désignation que d'un seul bénéficiaire. Pour contourner cette limitation, les particuliers désignaient souvent leur « succession » comme bénéficiaire, assignant ensuite des bénéficiaires dans leur dernier testament. Cependant, cette approche a nécessité l'homologation de la succession. Le processus d'homologation, souvent long et complexe, comporte d'importantes implications fiscales.
Pour plus de détails https://www.canada.ca/fr/secretariat-conseil-tresor/services/avis-information/modifications-apportees-reglement-prestations-supplementaires-deces-fonction-publique.html
La 105 e AGA aura lieu le vendredi 8 et le samedi 9 novembre 2024 au Sheraton Centre Hotel, à Toronto (Ontario).
Plus d’informations sur l’AGA et le processus de sélection des délégué·es à venir.
FREDERICTON, le 27 mai 2024 — Après plus d’un an de négociations contractuelles, la crise à laquelle est confronté le système de justice pénale du Nouveau-Brunswick continue de s’aggraver. La présidente de l’Association des procureurs de la Couronne du Nouveau-Brunswick (APCNB), Maître Shara Munn, estime que les procureurs de la Couronne et les procureurs de la Couronne à la famille n’avaient d’autre choix que d’agir. Un vote de grève récent a généré un taux de participation de 100 %, ce qui a permis d’obtenir un mandat de grève de 99 % en cas où les négociations échouent.
« Nous allons continuer à travailler dur pour parvenir à une entente équitable, déclare Maître Munn. Mais au fur et à mesure que les discussions s’éternisent, la réalité à laquelle nous sommes confrontés chaque jour pour maintenir le système de justice pénale devient de plus en plus difficile. Nous sommes découragés de voir à quel point cette crise s'est aggravée. Il est particulièrement décevant de constater que ce gouvernement, qui dit faire de la lutte contre le criminalité une priorité, ne coopère pas avec nous pour renforcer notre système judiciaire, qui est au bord de l'effondrement. »
Alors que les parties s’approchent de la prochaine étape — une réunion de conciliation prévue les 14 et 15 juin 2024 —, les procureurs de la Couronne et les procureurs de la Couronne à la famille attendent du gouvernement qu’il soutienne son engagement déclaré en faveur de la sécurité publique en se montrant disposé à négocier équitablement et à présenter des solutions à la crise du recrutement et de la rétention du personnel.
« Les problèmes de recrutement et de rétention mettent en péril notre système judiciaire. Nous n’avons pas assez de procureurs ou de soutiens pour effectuer notre travail. C’est pourquoi les procureurs sont unis et parlent d’une seule voix : le statu quo ne fonctionne pas. Le gouvernement doit agir, prévient Me Munn. Nous sommes des professionnel·les dévoués qui traitent des cas déchirants tout en étant submergés par de lourdes charges de travail. Nous nous engageons à faire en sorte que les Néo-Brunswickoises et les Néo-Brunswickois disposent du système judiciaire qu’ils méritent. Cependant, si le gouvernement ne coopère pas avec nous pour résoudre cette crise, les procureur·es les plus expérimentés partiront et la crise s’aggravera encore. La sécurité du public et de nos communautés pourrait être mise en danger. »
« Les procureurs de la Couronne et les procureurs de la Couronne à la famille veulent parvenir à une entente équitable. Nous défendons la sécurité des Néo-Brunswickois·ses. La balle est maintenant dans le camp du gouvernement, qui doit s’asseoir à la table de négociation et collaborer avec nous de bonne foi pour trouver de véritables solutions », de conclure Me Shara Munn.
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Source : Johanne Fillion, 613 883-4900 (cellulaire), jfillion@pipsc.ca
La présidente intérimaire abordera ses préoccupations avec la ministre Anand lors du déjeuner du maire
Ottawa, le 22 mai 2024 – L'Institut professionnel de la fonction publique du Canada (IPFPC) a publié les données préliminaires d'un récent sondage mené auprès de ses membres, soulignant les défis importants auxquels sont confrontés les travailleurs de la fonction publique fédérale dans le cadre du nouveau mandat de retour au bureau (RAB).
« Les résultats confirment l'absence de décisions fondées sur des données probantes et la nature absurde de ce décret », déclare Eva Henshaw, présidente intérimaire de l'IPFPC. « La grande majorité de nos membres n'ont même pas de bureau adéquat où retourner.
Résultats clés:
- Moins de 30 % des personnes interrogées disposent d'un poste de travail dédié.
- Moins de la moitié des répondants estiment que leurs conditions de travail actuelles répondent à leurs besoins.
- 50 % des personnes racialisées, LGBTQ2S+ et handicapées sont susceptibles ou extrêmement susceptibles d'envisager de quitter la fonction publique en raison de la directive RAB.
« Il y a une contradiction évidente entre le mandat du gouvernement en matière de RAB et les objectifs du gouvernement visant à accroître l'équité, la diversité et l'inclusion au sein de la fonction publique », poursuit Eva Henshaw. « Il est temps de conclure des accords de télétravail qui diversifieront la main-d'œuvre et refléteront véritablement la géographie et la démographie du Canada.
En outre, l'un des principaux arguments avancés pour justifier la pression accrue en faveur de la RAB, à savoir les possibilités de collaboration, n'est pas étayé par les données.
« 91 % des membres de l’IPFPC ont déclaré que leurs réunions étaient toujours ou presque toujours virtuelles », fait remarquer Eva Henshaw. « Le public peut imaginer que les équipes travaillent en étroite collaboration dans le même espace, mais la réalité est que les employés sont assis sur des appels vidéo toute la journée - rarement même dans le même bâtiment que leurs coéquipiers. »
L'IPFPC participera au petit-déjeuner du maire à Ottawa ce jeudi, où la présidente du Conseil du Trésor, Anita Anand, est l'invitée. « Nos tentatives de dialogue avec la ministre Anand se sont heurtées au silence », déclare Madame Henshaw. « Il est inquiétant que nous soyons obligés d'acheter des billets pour un petit-déjeuner municipal afin d'entamer un dialogue.
En mai 2024, l'Institut a mené une enquête auprès de plus de 60 000 de ses membres travaillant pour des ministères ou des agences fédérales, afin d'évaluer comment les membres se sentent après leur retour au bureau. Plus de 20 000 d'entre eux ont répondu à l'enquête.
L'Institut demande au gouvernement fédéral de reconsidérer sa directive et de collaborer avec les syndicats pour élaborer des politiques plus intelligentes qui tiennent compte du présent et de l'avenir du travail.
L’Institut représente plus de 75 000 professionnel·les du secteur public un peu partout au pays, dont la plupart sont employés par le gouvernement fédéral. Suivez-nous sur Facebook sur X (anciennement connu sous le nom de Twitter) et sur Instagram.
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Source: Johanne Fillion, 613-883-4900 (cellulaire), jfillion@pipsc.ca