L'Institut professionnel de la fonction publique du Canada

AVIS DE CONVOCATION : Pour diffusion immédiate

OTTAWA, le 5 octobre, 2016 - La présidente de l’Institut professionnel de la fonction publique du Canada (IPFPC) Debi Daviau sera disponible pour des entrevues aux médias après la séance d’information technique d’aujourd’hui sur le système de paye Phénix.

« La date que s’est fixée le gouvernement pour régler les problèmes du système Phénix approche à grands pas. Nous voulons nous assurer qu’il fait tous les efforts possibles pour régler la situation une fois pour toutes, » prévient Debi Daviau.

L’IPFPC représente près de 55 000 scientifiques et professionnels du secteur public dans l'ensemble du pays, pour la plupart employés par le gouvernement fédéral.

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Renseignements :
Johanne Fillion
(613) 228-6310 poste 4953 (bureau)
ou (613) 883-4900 (cell.)
jfillion@pipsc.ca

Le Conseil du Trésor a annoncé qu’un bureau des réclamations va ouvrir cette semaine, grâce à l’insistance de l’Institut, pour permettre le remboursement des dépenses que les fonctionnaires ont dû engager en raison des problèmes causés par le système de paye Phénix.

« Je suis heureuse que notre action militante ait donné lieu à des mesures concrètes, déclare la présidente de l’Institut, Debi Daviau. Certains de nos membres ont dû s’endetter juste pour joindre les deux bouts. Les professionnels de la fonction publique ne devraient pas écoper pour l’échec du nouveau système de paye ».

Mme Daviau a d’abord écrit à l’honorable Scott Brison, président du Conseil du Trésor, au début de l’été, afin de lui demander de mettre sur pied un système de remboursement qui indemniserait les fonctionnaires touchés par le désastreux système de paye Phénix. Elle a réitéré sa demande en août lorsqu’elle s’est adressée au comité parlementaire qui étudie les problèmes du système de paye.

Jusqu’ici, nous savons que le bureau des réclamations sert à rembourser les gens le plus rapidement possible, et les ministères auront le pouvoir de régler les demandes de remboursement de moins de 500 $. Les demandes de remboursement plus complexes de montants plus élevés seront traitées et réglées au Conseil du Trésor.

Un formulaire de réclamation et une foire aux questions se trouvent sur le site Web du Conseil du Trésor de même que les dernières nouvelles sur Phénix. L’Institut va déposer des griefs s’il n’est pas satisfait des règlements offerts et veillera à ce que ce bureau des réclamations réponde aux besoins de ses membres. Par ailleurs, il se servira de tribunes telles que le nouveau comité mixte syndical patronal sur Phénix pour soulever ses préoccupations.

L’Institut tiendra ses membres informés des dernières informations concernant le bureau des réclamations.

« Nous continuerons à travailler ensemble pour trouver des solutions et obtenir l’aide et la protection que nos membres méritent », assure Mme Daviau.

Chers membres,

Nous connaissons tous maintenant les lourdes conséquences de la mise en œuvre du système de paye Phénix il y a déjà près de six mois, et j’aimerais que vous sachiez que nous travaillons sans relâche pour trouver des solutions à ce problème et venir en aide aux employés touchés.

À titre de présidente de l’Institut, je m’engage à envisager tous les moyens possibles de faire pression sur le gouvernement pour qu’il agisse aussi en ce sens. Depuis ma dernière mise à jour, j’ai rencontré plusieurs fois de hauts responsables du Conseil du Trésor et du ministère de Services publics et Approvisionnement Canada (SPAC). Je me suis également entretenu avec Scott Brison, président du Conseil du Trésor, et Judy Foote, ministre de SPAC. Ces rencontres ont été fructueuses, mais nous continuerons néanmoins de chercher des façons de presser le gouvernement à trouver des solutions à court et à long terme.

Nous acheminons encore les cas critiques au Conseil du Trésor ainsi qu’aux responsables ministériels et demandons de nouveau aux membres qui ont des problèmes de paye de communiquer avec leur bureau régional pour en informer l’un de nos agents des relations du travail.

J’aimerais spécialement vous parler d’un effort commun que nous avons déployé avec d’autres syndicats du secteur public fédéral pour exiger que le gouvernement agisse à l’égard de plusieurs problèmes importants.

Collectivement, nous avons soulevé de graves inquiétudes en ce qui concerne l’accès des membres au Régime de soins de santé de la fonction publique : l’accès retardé, l’incapacité à apporter des modifications, et les problèmes qui surviennent lorsque les fonctionnaires quittent la fonction publique ou prennent un congé. Nous avons réitéré nos vives préoccupations concernant les répercussions que subiront les membres en situation d’invalidité de longue durée. Pour ne mentionner que quelques autres problèmes, nous avons sonné l’alarme quant aux problèmes liés au traitement des nouveaux employés, les congés (p. ex., le congé parental ou de maternité), les retenues sur les pensions, les rajustements salariaux, les allocations, la rémunération d’intérim, le retour au travail, les heures supplémentaires, les changements de ministère, les congés syndicaux, les erreurs fiscales et, en général, les bordereaux de paie erronés. Les problèmes causés par Phénix relativement aux cotes de sécurité et aux cotes de crédit des employés sont pour nous un autre dossier chaud.

Nous sommes également heureux d’annoncer que grâce aux pressions exercées par l’IPFPC et d’autres syndicats, le Conseil du Trésor ouvrira un bureau des réclamations où les fonctionnaires peuvent présenter des demandes d’indemnisation pour tout ce qu’ils ont payé de leur poche. Comme l’a indiqué la sous-ministre Marie Lemay dans sa mise à jour du 7 septembre, nous espérons que le bureau sera opérationnel cette semaine.

Il va sans dire qu’une fois de plus, j’aimerais exprimer ma profonde gratitude envers les délégués syndicaux , les représentants d’équipes de consultation, les dirigeants élus et le personnel de l’Institut, qui ont fait bien plus que leur devoir pour aider les membres à s’y retrouver dans un processus laborieux et qui, au bout du compte, parviennent à régler leurs problèmes de rémunération.

Bien mieux ensemble!

Debi Daviau
Présidente

Au Canada, septembre marque la rentrée des étudiants à l’université, au collège et à l’école secondaire, où bon nombre d’entre eux étudient pour devenir des professionnels. Certains de ces étudiants ont travaillé au gouvernement fédéral pendant l’été et ont subi les problèmes de paye du système Phénix, à l’instar de nombreux employés de la fonction publique fédérale.

Au début du mois dernier, l’Institut a offert d’aider ces étudiants en leur donnant des conseils sur la façon d’obtenir l’assistance du Centre des services de paye de Miramichi et même en transmettant au Conseil du Trésor et à d’autres hauts fonctionnaires les cas particulièrement urgents que le gouvernement devrait traiter rapidement, à notre avis. Comme le mois passait et qu’aucune solution durable aux problèmes de paye des membres et des étudiants ne se présentait, nous avons continué à exercer des pressions sur le gouvernement, surtout que l’échéance de paiements des frais de scolarité (fin d’août) arrivait rapidement.

Le 25 août, nous avons écrit à Services publics et Approvisionnement Canada à la suite de la publication du récent rapport de la sous-ministre Marie Lemay sur les efforts consentis au règlement des problèmes de paye du système Phénix et avons demandé au Ministère de nous donner des détails sur l’état d’avancement du règlement des problèmes de paye des étudiants. Nous avons été informés qu’au 24 août, 90 % de ces problèmes avaient été réglés et qu’au 7 septembre la situation des derniers étudiants touchés aura été corrigée.

Nous sommes très fiers d’avoir pu donner un coup de main aux étudiants victimes des problèmes de Phénix et nous espérons que cette expérience n’a pas détruit leur espoir et leur envie de faire carrière dans la fonction publique fédérale.

Nous tenons à exprimer notre solidarité à l’égard de ces étudiants et nous leur souhaitons bonne chance et bon succès pour les années à venir. Bien sûr, nous espérons aussi que le gouvernement fédéral reconnaîtra bientôt la leçon à tirer de la sous-traitance et du ressourcement insuffisant des services publics de base et des services d’emplois.

Bien mieux ensemble!

Debi Daviau
Présidente

Chers membres,

Le système de paye Phénix continue à poser des problèmes importants à nos membres employés au gouvernement fédéral. L’Institut demeure résolu à chercher des moyens d’aider les membres à titre individuel et à travailler avec les hauts fonctionnaires et les dirigeants élus pour trouver des solutions.

Le vendredi 19 août, j’ai rencontré la ministre de Travaux publics et Services gouvernementaux Canada, Judy Foote. Je lui ai parlé des problèmes persistants de nos membres avec le système et j’ai même soulevé les nouveaux problèmes qui se pointent. La ministre a écouté et s’est dite au courant de ces problèmes et profondément préoccupée. J’ai réitéré que notre priorité absolue, c’est de nous assurer que les paiements à nos membres se fassent au plus vite.

J’ai déclaré expressément que l’absence de paye d’urgence pour beaucoup de nos membres était inacceptable et qu’il fallait plus de solutions adaptées aux ministères. Si quelqu’un a besoin de se faire émettre un chèque manuellement, l’employeur devrait trouver un moyen de le faire.

Le jeudi 18 août, nos membres de Terre-Neuve et Labrador ont participé à une manifestation à l’extérieur du bureau de la ministre Foote, à St. John’s, en compagnie de représentants d’autres syndicats du secteur public fédéral, pour exiger une action immédiate. Nous les remercions de prendre le temps d’exprimer leurs préoccupations au nom de tous les fonctionnaires.

Comme vous êtes nombreux à le savoir, l’Institut a également trouvé des moyens d’aider les étudiants, touchés en nombre disproportionné par les problèmes de paye. Nous en avons rejoint et aidé beaucoup d’autres qui craignent de ne pas avoir les fonds pour payer leurs frais de scolarité à temps, à la fin du mois. Nous avons soulevé ce problème à la ministre et à des hauts fonctionnaires vendredi et on nous assuré qu’on ne ménage aucun effort pour corriger le problème. Nous allons continuer à travailler avec les étudiants jusqu’à ce que nous voyons également leurs problèmes réglés.

Nous craignons que le système Phénix soit un autre exemple de stratégie de « modernisation » de l’informatique donnée en sous-traitance, dont l’échec est enraciné dans la volonté de réduire les coûts plutôt que d’améliorer les services. Nous avons vu ce scénario se répéter quelques fois, dont la transformation des services de courriel et le renouvellement du site Web, pour n’en mentionner que deux. Nous continuerons de faire pression sur le nouveau gouvernement pour ne pas qu’il répète les erreurs du gouvernement précédent et pour qu’il prépare correctement ses plans et évalue suffisamment bien les ressources nécessaires à ses projets à l'avenir.

Je veux surtout dire au gouvernement qu’il aurait dû demander à nos membres de faire l’essai et la mise en œuvre du système Phénix et qu’il devrait maintenant consulter son personnel pour qu’il l’aide à corriger les problèmes persistants. De plus, le gouvernement doit tenir compte de ce que nos membres ont à dire de ses plans dès l’élaboration de ses projets s’il veut éviter d’autres défaillances catastrophiques dans l’avenir.

Pour conclure, j’aimerais remercier sincèrement les présidents de consultation, les dirigeants, les délégués syndicaux, les bénévoles et le personnel de l’Institut de tout ce qu’ils font pour aider les membres à passer à travers cette situation très difficile. Merci!

Debi Daviau
Présidente

  1. Je n’ai pas été payé depuis que j’ai commencé à travailler. Que devrais-je faire?
    • Si vous n’avez pas déjà pris des mesures pour régler le problème, vous devriez d’abord vérifier que votre ministère est desservi par le Centre des services de paye. Dans l’affirmative, demandez à votre gestionnaire si tous les documents nécessaires ont été envoyés au Centre des services de paye (lettre d’offre d’emploi, questionnaire de l’employé, serment rempli et signé, formulaires d’impôt sur le revenu et formulaire d’inscription au dépôt direct). Vous pouvez demander une paye prioritaire à votre ministère (voir le calendrier des priorités pour la résolution des problèmes de paye des employés). Vous pouvez aussi demander une avance salariale d’urgence. Votre cas sera acheminé aux autorités supérieures si vous n’avez pas reçu votre salaire normal au plus tard 21 jours après votre premier ou votre dernier jour de travail (voir les normes de service, Processus d’acheminement – Centre des services de paye).
  2. J’ai fait une demande d’intervention de paye (DIP). Quelle est la suite?
    • Vous devriez avoir reçu un numéro de confirmation après avoir soumis votre DIP. Si votre problème n’a pas été réglé, nous vous suggérons de communiquer avec nous pour que nous intervenions auprès du Bureau de la satisfaction des clients en votre nom. Vous trouverez les coordonnées nécessaires ci-dessous.
  3. Quels sont mes recours?
    • À quelques exceptions près, les étudiants occupent un poste non syndiqué. Votre lettre d’offre d’emploi précise parfois ce qu’il en est. Si vous êtes syndiqué, communiquez avec votre délégué syndical pour discuter de vos options. Si vous ne l’êtes pas, l’IPFPC est une ressource à votre disposition pour vous aider à régler les problèmes de paye. Vous trouverez les coordonnées nécessaires ci-dessous.

Pour obtenir plus d’aide, veuillez communiquer avec Catherine Wright, associée des relations du travail, par courriel à cwright@pipsc.ca ou par téléphone au 613-228-6310, poste 4742.

Exemple de libellé

Voici des exemples de libellés que vous pourriez utiliser pour faire vos demandes par écrit à votre gestionnaire immédiat concernant vos problèmes de paye.

Aucune paye

Bonjour,
Je n’ai pas été payé(e) pour la période du xx au xx. J’ai contacté le Centre des services de rémunération et je n’ai pas réussi à régler rapidement ce problème. Cette situation me donne du stress et des problèmes financiers.
Je demande que mon cas soit renvoyé au Centre des services de paye, dans le premier groupe prioritaire, et que l’employeur corrige immédiatement mon problème de paye.
Cordialement,

Paye incorrecte ou incomplète

Bonjour,
Ma paye du (DATE) n’a pas été calculée correctement, et le montant déposé dans mon compte bancaire était erroné. J’ai contacté le Centre des services de rémunération et je n’ai pas réussi à régler rapidement ce problème. Cette situation me donne du stress et des problèmes financiers. Je demande que l’employeur corrige immédiatement mon problème de paye.
Cordialement,

Demande de remboursement de coûts engagés et d’intérêts perdus

Si vous avez assumé des coûts en raison du retard ou de la retenue de votre paye, nous vous suggérons d’écrire à votre gestionnaire immédiat pour en demander le remboursement. Voici un exemple de demande de remboursement.

Bonjour,
Je n’ai pas reçu ma paye (ou j’ai reçu une paye d’un montant erroné au cours) de la période du xx au xx. J’ai contacté le Centre des services de rémunération et je n’ai pas réussi à régler rapidement ce problème. Cette situation me donne du stress et des problèmes financiers.

Plus précisément, j’ai dû payer ____$ le (DATE) en intérêts sur (mon prêt, ma marge de crédit, ma carte de crédit, etc.), somme que je n’aurais pas eu à payer si ma paye avait été versée à temps. J’ai également perdu des intérêts sur les cotisations que j’aurais versées à des comptes d’épargne. Je demande le remboursement de ces frais et des frais futurs que cette situation causera. Je suis prêt à prouver ces pertes dans la confidentialité.
Cordialement,

Pour diffusion immédiate

OTTAWA, le 4 août 2016 — Le syndicat des professionnels de la fonction publique offre son aide aux étudiants de la fonction publique fédérale qui sont touchés par les problèmes du système de paye Phénix.

« Les étudiants de la fonction publique fédérale comptent parmi les victimes les plus vulnérables du système Phénix, affirme Debi Daviau, présidente de l’Institut professionnel. En général, ils ont des prêts étudiants, peu d’économies et un accès limité aux marges de crédit. Pis encore, comme ils ne sont pas syndiqués, ils n’ont pas beaucoup de soutien pour faire face aux répercussions des problèmes de ce système. »

Le syndicat leur offrira des conseils sur la façon de régler leur situation. Il signalera les cas critiques au gouvernement pour qu’ils soient réglés en priorité.

Les étudiants qui sont aux prises avec des problèmes de paye sont invités à prendre contact avec le syndicat par le biais d’une plateforme Web.

« Alors même que le gouvernement fédéral devrait attirer une nouvelle génération de professionnels dans la fonction publique, Phénix leur fait vivre une expérience terrible qui pose problème », d’ajouter Mme Daviau. « Nous espérons alléger une partie des torts causés par Phénix. »

L’IPFPC représente quelque 55 000 scientifiques et professionnels du secteur public dans l'ensemble du pays, pour la plupart employés par le gouvernement fédéral.

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L’Institut professionnel de la fonction publique du Canada (IPFPC) souhaite aider les étudiants durement touchés par les problèmes du système de paye Phénix

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du gouvernement fédéral en leur offrant de l’information et des conseils sur la façon d’utiliser les processus gouvernementaux en place pour se faire payer. Même si nous ne pouvons pas représenter ces jeunes travailleurs, nous croyons qu’il est essentiel d’offrir toute l’assistance que nous pouvons à la prochaine génération d’employés de la fonction publique fédérale. Cela ne nous empêche en rien de continuer d’aider nos membres aux prises avec les mêmes problèmes.

 

Nous encourageons les membres qui connaissent des étudiants touchés par les problèmes de paye du système Phénix à les renvoyer au www.pipsc.ca/etudiants, où ils trouveront de l’aide. Personne ne devrait être privé de sa paye!

Une affiche a été créée pour vous aider à promouvoir cette initiative au bureau. Vous pouvez la télécharger ici ou nous envoyer un courriel à HelpDesk@pipsc.ca pour en obtenir des copies.

Bien mieux ensemble!

Debi Daviau
Présidente

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Pour diffusion immédiate

OTTAWA, le 28 juillet 2016 — Debi Daviau, présidente de l’IPFPC, assistera à la réunion du Comité d’urgence sur Phénix qui aura lieu à 14 h aujourd’hui même sur la Colline du Parlement.

« Les professionnels de la fonction publique s’attendent à ce qu’une date limite soit fixée pour le règlement des problèmes causés par Phénix », a déclaré Mme Daviau. « Les gens ont de la difficulté à joindre les deux bouts. Ils s’endettent. Ils ne peuvent plus payer leur hypothèque. Leur cote de solvabilité en prend un coup. Ils doivent savoir quand ils pourront enfin laisser ce problème derrière eux. »

Mme Daviau exhorte le Comité à trouver des réponses aux questions suivantes :

  • Pourquoi la paye d’urgence n’est-elle pas traitée plus rapidement?
  • Comment un produit soi-disant « clé en main » a-t-il été approuvé sans faire l’objet de tests adéquats?
  • Jusqu’à quel point les tests et la mise en œuvre de cette transition ont-ils été accordés à IBM ou à d’autres entreprises externes?
  • Y avait-il un plan d’urgence en place en cas de défaillance du système Phénix?

Mme Daviau sera disponible pour accorder des entrevues aux médias après la réunion du Comité.

L’IPFPC représente quelque 55 000 scientifiques et professionnels du secteur public dans l'ensemble du pays, pour la plupart employés par le gouvernement fédéral.

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Source : Johanne Fillion, 613-228-6310, poste 4953 (bureau) ou 613-883-4900 (cell.) jfillion@pipsc.ca