L'Institut professionnel de la fonction publique du Canada

Bonjour,

Alors que nous approchons de la fin de l’année, j’aimerais faire le point sur le système de paye Phénix et sur les mesures prises par l’IPFPC afin de trouver des solutions immédiates et durables au fiasco dans lequel nous sommes empêtrés.

Même si nous lui avions demandé en avril dernier d’interrompre la mise en place du système, le gouvernement a décidé de la poursuivre. Depuis les militants, le personnel et la direction de l’Institut se sont activement employés à aider les nombreux membres aux prises avec des problèmes de paye, tels que : salaire manquant, salaire partiel, trop-payés ainsi que prestations parentales ou prestations d’invalidité non versées en raison de problèmes systémiques du système de paye. Le simple fait de tenter de savoir comment déposer une plainte est pour le moins fastidieux. Il est à la fois honteux et inacceptable qu’après tant de mois, d’innombrables cas demeurent non résolus.

Durant cette période, nous avons exercé plusieurs moyens de pression pour inciter le gouvernement à agir : lobbyisme auprès de ministres, de députés et de hauts fonctionnaires, communication avec les médias, ralliement à d’autres syndicats et traitement de cas critiques individuels avec l’employeur. Nous avons défendu les intérêts des membres aux tables de consultation ainsi qu’au sein des groupes de travail mixtes (syndicaux-patronaux); nous avons porté une attention spéciale aux groupes comme le personnel infirmier du Nord, qui a été sévèrement touché par la transformation. Après des pressions croissantes, Santé Canada a décider de mettre ses propres ressources au service du centre de paye pour régler cette situation inédite. L’été dernier, l’Institut a offert d’aider les étudiants qui ont été touchés disproportionnellement par les problèmes de Phénix en expliquant comment obtenir l’assistance du Centre des services de paye de Miramichi, et même en transmettant au Conseil du Trésor et à d’autres hauts fonctionnaires les cas particulièrement urgents que le gouvernement devrait traiter rapidement. Nous avons constaté que la grande majorité des problèmes touchant la rémunération des étudiants ont été réglés avant le début de la nouvelle année scolaire. Nous espérons que ces efforts montrent à la nouvelle génération toute l’utilité de bénéficier du soutien d’un syndicat.

Par suite des pressions exercées par l’Institut, le Conseil du Trésor a mis sur pied un Bureau des réclamations pour rembourser les fonctionnaires qui ont dû engager des frais en raison des problèmes liés à Phénix. En outre, votre syndicat a décidé de consentir des prêts aux membres touchés. À ce jour, nous avons accordé 14 prêts, et nous entendons bien continuer à le faire jusqu’à ce que le système fonctionne comme il se doit. Comme les trop-perçus figurent au nombre des problèmes courants de ce système, nous devons également composer avec des questions fiscales préoccupantes. En misant sur l’expertise fiscale de l’IPFPC, nous avons collaboré avec le Conseil du Trésor et l’Agence du revenu du Canada pour tenter d’atténuer les répercussions sur les membres. Nous avons également organisé une manifestation d’Halloween en y allant de notre propre version lugubre de l’oiseau Phénix après que le gouvernement eût raté l’échéance qu’il s’était lui-même fixée pour éliminer l’arriéré. La manifestation a grandement retenu l’attention des médias et a fait en sorte que la situation est demeurée bien à l’esprit des politiciens, des médias et du grand public.

Il y a quelques progrès quant à des solutions provisoires qui permettraient d’améliorer les choses. Nous soutenons depuis longtemps que la politique du gouvernement, qui consiste à émettre des paiements d’urgence uniquement à ceux qui ne touchent aucun salaire, est injuste et qu’elle cause du tort à beaucoup d’autres salariés. Nous espérons apprendre bientôt que des paiements prioritaires peuvent aussi être versés aux membres qui connaissent des difficultés attribuables à des paiements insuffisants. De plus, bon nombre de hauts fonctionnaires nous ont dit vouloir faire partie de la solution. Nous avons transmis ce message au Conseil du Trésor et à Services publics et Approvisionnement Canada (SPAC), qui prennent maintenant des mesures pour permettre aux ministères d’inscrire des informations dans le système pour accélérer les délais de traitement.

À l’instar de trop de transformations informatiques récentes, les problèmes de notre système de paye sont largement attribuables à la sous-traitance mal planifiée et malavisée d’un projet gouvernemental. La décision de ne choisir qu’un prestataire extérieur — IBM — et de contourner notre propre communauté CS fait en sorte que les échecs de Phénix sont maintenant plus coûteux et plus compliqués à réparer. Après avoir fait l’objet de vives pressions pour demander à sa propre communauté informatique de mettre au point des solutions, Marie Lemay, sous-ministre de SPAC, a collaboré avec moi pour lancer un appel conjoint aux membres CS qui savent utiliser PeopleSoft (le programme qui a inspiré Phénix) en vue de trouver des solutions.

Vous avez ma parole : réparer le système Phénix demeurera au sommet de mes priorités dans la nouvelle année. Pour l’instant, j’aimerais remercier tous les militants, les employés et les dirigeants de l’Institut qui ont été au service de nos membres.

Comme j’ai coutume de dire, nous sommes vraiment Bien mieux ensemble.

Joyeuses Fêtes!

Debi Daviau
Présidente de l’Institut

Chers membres,

La semaine dernière, j’ai eu l’occasion de rencontrer le sous-ministre Simon Kennedy pour lui parler des problèmes que le système de paye Phénix fait peser sur nos membres à Santé Canada.

Au cours des derniers mois, nous avons établi une très bonne relation de travail avec M. Kennedy et l’équipe des ressources humaines du Ministère. En dépit de ce qui précède, et malgré les efforts déployés par tous les intervenants, le règlement des problèmes du système de paye Phénix s’est révélé non seulement très difficile, mais aussi beaucoup trop long.

Nous avons été heureux d’apprendre que le sous-ministre et l’Institut conviennent de la nécessité d’améliorer l’accès aux paiements d’urgence ou prioritaires. Comme nous le savons bien, les difficultés de Phénix ne se limitent pas aux employés qui sont entièrement privés de salaire; en effet, d’autres touchent un salaire largement inférieur à ce qu’ils devraient recevoir, et ce, pendant des mois et des mois. Ce manque à gagner n’est pas une somme négligeable, et peut constituer une grande partie du salaire de la personne. Nous avons bon espoir qu’il sera possible de mettre en place un système de rémunération prioritaire élargi et que les ministères émettent des chèques pour remédier aux cas difficiles. Ce n’est qu’une question de gros bon sens.

Nous avons également discuté de la nécessité que les ministères disposent d’un meilleur accès à Phénix et qu’ils aient la capacité d’agir directement au lieu d’attendre qu’un centre de paye centralisé et surchargé effectue la plus grande partie du travail. Nous espérons qu’une fois mise en œuvre, cette mesure réduira le nombre de problèmes.

Je voudrais également profiter de cette occasion pour remercier les bénévoles de l’IPFPC, comme Ginette Tardif, présidente de l’équipe nationale de consultation de Santé Canada, qui ont travaillé sans relâche pour aider les membres à faire connaître leurs problèmes, ou qui ont simplement été à leur écoute. Ils ont donné généreusement de leur temps et je leur suis profondément reconnaissante de tout le travail qu’ils font pour autrui. Je continuerai de collaborer avec vos représentants afin que le gouvernement prenne toutes les mesures possibles pour que nos membres soient payés comme il se doit et pour que nous disposions de solutions durables qui nous permettront de tourner la page sur cet inacceptable fiasco.

Comme toujours, je vous encourage à nous informer de tout problème de paye en communiquant avec un des agents de relations du travail de votre bureau régional.

En vous souhaitant de joyeuses Fêtes, je tiens à vous remercier pour votre travail soutenu et, bien sûr, votre persévérance.

Cordialement,

Debi Daviau
Présidente de l’IPFPC

Appels frauduleux pour le recouvrement des sommes payées en trop

Nous venons d’apprendre que l’un de nos membres ainsi que d’autres employés de la fonction publique du Canada ont fait l’objet d’appels d’une prétendue agence de recouvrement qui se disait mandaté par le gouvernement à percevoir les sommes payés en trop dans la foulée des ratés du système de paye Phénix. Ces appels sont frauduleux.

Le gouvernement ne fait pas appel à une agence de recouvrement

Dans un communiqué http://www.tpsgc-pwgsc.gc.ca/comm/index-fra.html émis il y a quelques heures, le gouvernement a confirmé ne pas faire affaire avec des agences de recouvrement.

Si vous recevez un appel suspect d’une agence qui prétend exiger le remboursement d’un trop-payé, ne lui communiquez aucun renseignement personnel (par exemple votre adresse, votre numéro de carte de crédit ou de compte bancaire), et surtout, ne prenez aucune disposition de remboursement. Si l’agence frauduleuse communique avec vous, veuillez le signaler à votre police locale et au Centre antifraude du Canada (Section Signaler un incident) http://www.antifraudcentre-centreantifraude.ca/reportincident-signalerincident/index-fra.htm et discutez-en avec votre agent de sécurité ministériel, qui vous guidera et vous conseillera sur les façons de protéger vos renseignements personnels

Aux directeurs de l’information / affectation

AVIS AUX MÉDIAS (séance de photo)

POUR DIFFUSION IMMÉDIATE

OTTAWA, le 28 octobre 2016 – Comme ce lundi 31 octobre représente la date butoir que le gouvernement s’est fixée pour résoudre tous les problèmes affligeant son système de paye Phénix, les employés de la fonction publique membres de l’Alliance de la fonction publique du Canada (APFC), de l’Association canadienne des employés professionnels (ACEP) et de l’Institut professionnel de la fonction publique du Canada (IPFPC) tiendront en rassemblement au centre-ville d’Ottawa pour faire pression sur les dirigeants pour que le système soit réparé une fois pour toutes.

« Le gouvernement s’est lui-même fixé l’objectif de régler au 31 octobre 2016 tous les cas de l’arriéré signalés avant le 1er juin; pourtant nous ne savons toujours pas si les fonctionnaires doivent s’attendre à des ‘friandises’ ou des ‘bêtises’ en ce 31 octobre. Notre patience a ses limites », s’inquiète la présidente de l’IPFPC, Debi Daviau.

« C’est un problème qui devrait déjà moisir dans sa tombe », de déclarer Jessica Squires, la présidente du Comité de mobilisation de l’ACEP. « Il est inacceptable que des personnes à l’emploi du gouvernement ne reçoivent toujours pas le salaire qui leur est dû pour le travail important qu’ils accomplissent pour et au nom des Canadiennes et Canadiens. »

La présidente de l’IPFPC, Debi Daviau, la présidente de l’AFPC, Robyn Benson et la présidente du Comité de mobilisation de l’ACEP, Jessica Squires, seront présentes; elles prendront la parole devant les manifestants et seront disponibles pour répondre aux questions des médias qui désireront faire le point sur les ratés incessants du système de paye Phénix

Activité : Rassemblement d’Halloween – Hantés par Phénix!

Lieu : Au coin des rues Elgin et Wellington (devant le bureau du premier ministre)

Date : Lundi 31 octobre 2016

Heure : 12 h (midi)

- 30 -

Source :
Pierre Lebel, Communications, ACEP, (613) 236-9181 (cell.) ou (613) 889-1027,
plebel@acep-cape.ca
Alroy Fonseca, Communications, AFPC RCN, (613) 262-3658
fonseca@psac.com
Johanne Fillion, IPFPC, (613) 228-6310 ext 4953 (bureau) ou (613) 883-4900 (cell.),
jfillion@pipsc.ca

Ce mois-ci, le Conseil du Trésor a annoncé la mise sur pied d’un bureau des réclamations pour permettre le remboursement des dépenses que les fonctionnaires ont dû engager en raison des problèmes causés par le système de paye Phénix.

Un formulaire de réclamation et une foire aux questions se trouvent sur le site Web du Conseil du Trésor, ainsi que d’autres renseignements sur Phénix.

NOUVELLE MESURE

Il a été porté à notre attention que les ministères demandent aux requérants de signer une décharge qui pourrait éventuellement compromettre leur droit à déposer un grief relativement aux frais engagés. Or, il faut que les membres sachent qu’ils ne devraient signer la décharge que s’ils sont convaincus que le montant convenu correspond au montant total de la demande de remboursement des frais qu’ils ont engagés.

Comme toujours, si vous avez des questions ou des préoccupations, appelez votre bureau régional pour parler à l’un de nos agents des relations du travail.

L’Institut va déposer des griefs s’il n’est pas satisfait des règlements offerts. Nous entendons bien continuer à soulever toute préoccupation relative à Phénix, comme ce formulaire, dans des forums comme le comité mixte syndical patronal.

Chers membres de l’Institut de la Région de la capitale nationale,

Le lundi 31 octobre n’est pas que l’Halloween, c’est le jour où le système de paye Phénix devait renaître de ses cendres, juré, craché!

Malheureusement, il semble que ça ne sera pas le cas, alors nous vous invitons à un rassemblement au centre-ville d’Ottawa le lundi 31 octobre pour rappeler au gouvernement que nous nous Prêts à être payés à temps et en tout temps!

Nos collègues de la fonction publique représentés par l’AFPC et l’ACEP, entre autres, se joindront à nous. Et puisque c’est l’Halloween, le Phénix même sera là aussi! Arborez vos macarons Prêt – un sérieux plaisir pour tous!

Date: Lundi 31 octobre à midi

Lieu: Au coin des rues Elgin et Wellington (devant le bureau du premier ministre)

Invités : Tous les membres de l’Institut sont les bienvenus

Pour plus de renseignements, contactez votre délégué syndical, envoyez-nous un courriel à bettertogether@pipsc.ca, ou suivez-nous sur Twitter (@pipsc_ipfpc).

Bien mieux ensemble!
Debi Daviau, présidente

L’IPFPC est heureux d’annoncer que le gouvernement du Canada lui a demandé de participer à l’examen indépendant de Services partagés Canada en qualité de représentant au groupe d’experts en technologies de l’information (TI) de Gartner Canada Co. Nous ne manquerons pas d’énoncer qu’il est crucial que Services partagés Canada se dote d’un plan et des ressources appropriées pour réussir. Nous savons aussi que la décision du gouvernement de sous-traiter des projets de transformation des TI a conduit à des dépassements de coûts et, dans de nombreux cas, donné des résultats catastrophiques.

Services partagés Canada procédera également à une consultation distincte et demandera aux fonctionnaires d’y répondre, qu’ils travaillent au Ministère ou non. Nous vous encourageons à prendre le temps de répondre et de livrer votre point de vue.

AVIS DE CONVOCATION : Pour diffusion immédiate

OTTAWA, le 5 octobre, 2016 - La présidente de l’Institut professionnel de la fonction publique du Canada (IPFPC) Debi Daviau sera disponible pour des entrevues aux médias après la séance d’information technique d’aujourd’hui sur le système de paye Phénix.

« La date que s’est fixée le gouvernement pour régler les problèmes du système Phénix approche à grands pas. Nous voulons nous assurer qu’il fait tous les efforts possibles pour régler la situation une fois pour toutes, » prévient Debi Daviau.

L’IPFPC représente près de 55 000 scientifiques et professionnels du secteur public dans l'ensemble du pays, pour la plupart employés par le gouvernement fédéral.

Suivez-nous sur Facebook et Twitter (@pipsc_ipfpc)

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Renseignements :
Johanne Fillion
(613) 228-6310 poste 4953 (bureau)
ou (613) 883-4900 (cell.)
jfillion@pipsc.ca

Le Conseil du Trésor a annoncé qu’un bureau des réclamations va ouvrir cette semaine, grâce à l’insistance de l’Institut, pour permettre le remboursement des dépenses que les fonctionnaires ont dû engager en raison des problèmes causés par le système de paye Phénix.

« Je suis heureuse que notre action militante ait donné lieu à des mesures concrètes, déclare la présidente de l’Institut, Debi Daviau. Certains de nos membres ont dû s’endetter juste pour joindre les deux bouts. Les professionnels de la fonction publique ne devraient pas écoper pour l’échec du nouveau système de paye ».

Mme Daviau a d’abord écrit à l’honorable Scott Brison, président du Conseil du Trésor, au début de l’été, afin de lui demander de mettre sur pied un système de remboursement qui indemniserait les fonctionnaires touchés par le désastreux système de paye Phénix. Elle a réitéré sa demande en août lorsqu’elle s’est adressée au comité parlementaire qui étudie les problèmes du système de paye.

Jusqu’ici, nous savons que le bureau des réclamations sert à rembourser les gens le plus rapidement possible, et les ministères auront le pouvoir de régler les demandes de remboursement de moins de 500 $. Les demandes de remboursement plus complexes de montants plus élevés seront traitées et réglées au Conseil du Trésor.

Un formulaire de réclamation et une foire aux questions se trouvent sur le site Web du Conseil du Trésor de même que les dernières nouvelles sur Phénix. L’Institut va déposer des griefs s’il n’est pas satisfait des règlements offerts et veillera à ce que ce bureau des réclamations réponde aux besoins de ses membres. Par ailleurs, il se servira de tribunes telles que le nouveau comité mixte syndical patronal sur Phénix pour soulever ses préoccupations.

L’Institut tiendra ses membres informés des dernières informations concernant le bureau des réclamations.

« Nous continuerons à travailler ensemble pour trouver des solutions et obtenir l’aide et la protection que nos membres méritent », assure Mme Daviau.

Chers membres,

Nous connaissons tous maintenant les lourdes conséquences de la mise en œuvre du système de paye Phénix il y a déjà près de six mois, et j’aimerais que vous sachiez que nous travaillons sans relâche pour trouver des solutions à ce problème et venir en aide aux employés touchés.

À titre de présidente de l’Institut, je m’engage à envisager tous les moyens possibles de faire pression sur le gouvernement pour qu’il agisse aussi en ce sens. Depuis ma dernière mise à jour, j’ai rencontré plusieurs fois de hauts responsables du Conseil du Trésor et du ministère de Services publics et Approvisionnement Canada (SPAC). Je me suis également entretenu avec Scott Brison, président du Conseil du Trésor, et Judy Foote, ministre de SPAC. Ces rencontres ont été fructueuses, mais nous continuerons néanmoins de chercher des façons de presser le gouvernement à trouver des solutions à court et à long terme.

Nous acheminons encore les cas critiques au Conseil du Trésor ainsi qu’aux responsables ministériels et demandons de nouveau aux membres qui ont des problèmes de paye de communiquer avec leur bureau régional pour en informer l’un de nos agents des relations du travail.

J’aimerais spécialement vous parler d’un effort commun que nous avons déployé avec d’autres syndicats du secteur public fédéral pour exiger que le gouvernement agisse à l’égard de plusieurs problèmes importants.

Collectivement, nous avons soulevé de graves inquiétudes en ce qui concerne l’accès des membres au Régime de soins de santé de la fonction publique : l’accès retardé, l’incapacité à apporter des modifications, et les problèmes qui surviennent lorsque les fonctionnaires quittent la fonction publique ou prennent un congé. Nous avons réitéré nos vives préoccupations concernant les répercussions que subiront les membres en situation d’invalidité de longue durée. Pour ne mentionner que quelques autres problèmes, nous avons sonné l’alarme quant aux problèmes liés au traitement des nouveaux employés, les congés (p. ex., le congé parental ou de maternité), les retenues sur les pensions, les rajustements salariaux, les allocations, la rémunération d’intérim, le retour au travail, les heures supplémentaires, les changements de ministère, les congés syndicaux, les erreurs fiscales et, en général, les bordereaux de paie erronés. Les problèmes causés par Phénix relativement aux cotes de sécurité et aux cotes de crédit des employés sont pour nous un autre dossier chaud.

Nous sommes également heureux d’annoncer que grâce aux pressions exercées par l’IPFPC et d’autres syndicats, le Conseil du Trésor ouvrira un bureau des réclamations où les fonctionnaires peuvent présenter des demandes d’indemnisation pour tout ce qu’ils ont payé de leur poche. Comme l’a indiqué la sous-ministre Marie Lemay dans sa mise à jour du 7 septembre, nous espérons que le bureau sera opérationnel cette semaine.

Il va sans dire qu’une fois de plus, j’aimerais exprimer ma profonde gratitude envers les délégués syndicaux , les représentants d’équipes de consultation, les dirigeants élus et le personnel de l’Institut, qui ont fait bien plus que leur devoir pour aider les membres à s’y retrouver dans un processus laborieux et qui, au bout du compte, parviennent à régler leurs problèmes de rémunération.

Bien mieux ensemble!

Debi Daviau
Présidente