L'Institut professionnel de la fonction publique du Canada

L’assemblée générale annuelle (AGA) 2022 de l’IPFPC aura lieu en personne les 18 et 19 novembre 2022 à Montréal, au Québec.

Si vous souhaitez représenter la délégation de votre groupe, remplissez le formulaire de candidature ci-dessous avant le 28 juin à midi (HE).

Ce formulaire est uniquement destiné aux membres des groupes suivants :

RSPNCB, CCC, ACIA (IN, S&A, VM), MCH, MCN, C des C, CCM, MP, NAV, NB (tous les groupes), ONF-PG, MBAC, MAGE, CNRC (IS, LS, TR), SEN, RT-SUN, TME-SUN, TOURISME, HTB-RT, UOTTAWA, CCW, RT-HRW, GEPW, GETW, RHY

L’AGA est l’assemblée des délégué·e·s qui représentent les membres de l’IPFPC. Elle a pour but de revoir et d’établir l’orientation de la politique du syndicat. Des enjeux y seront présentés, débattus et soumis au vote des délégué·e·s.

Tout est gratuit, y compris les repas, le transport et l’hôtel, et votre salaire sera compensé comme il se doit.

Si vous avez des questions ou que vous souhaitez obtenir de plus amples informations, communiquez avec Sean O’Reilly à soreilly@pipsc.ca.

Vous devez vous déconnecter du réseau privé virtuel (RPV) du gouvernement et utiliser un appareil personnel pour télécharger le formulaire.

Le gouvernement fédéral a annoncé son intention de mettre fin aux mandats de vaccination contre la COVID-19 le 20 juin 2022. Cela signifie que la politique de vaccination des fonctionnaires fédéraux de l’administration publique centrale, y compris la GRC, ne sera plus en vigueur. Les sociétés d’État et les organismes distincts ont été invités à suspendre eux aussi cette exigence.

À compter du 20 juin 2022, les membres en congé non payé ou en situation d’accommodement seront autorisés à retourner au travail. Si les circonstances de la pandémie venaient à changer, le gouvernement fédéral pourra adapter ses politiques en fonction des directives de santé publique. Nous espérons que les organismes distincts adopteront bientôt la même approche et nous vous tiendrons informés de l’évolution des choses.

Malheureusement, cette information a été communiquée à la présidente de l’Institut par l’intermédiaire des médias avant que l’employeur ne nous informe du changement. À l’instar d’autres syndicats, nous demandons une mise à jour depuis des semaines. Nous avons informé le Conseil du Trésor de notre déception et nous espérons que la collaboration sera une priorité à l’avenir.

Il s’agit d’une bonne nouvelle de la part de l’employeur, car nous avons insisté pour que cette politique reflète la situation actuelle de la pandémie. En mai 2022, l’Institut a déposé des griefs de principe contre l’application de la politique de vaccination obligatoire aux employés en congé non payé (CNP) au-delà du 6 avril 2022. Ces griefs restent en vigueur jusqu’à ce que nous ayons plus de détails.

Nos membres se sont surpassés tout au long de la pandémie pour assurer le bien-être de leurs collègues et de toute la population. Nous encourageons tous les membres à continuer à suivre les directives de santé publique et à maintenir leurs vaccinations à jour.

L’employeur doit faire en sorte que ses lieux de travail soient sûrs, en particulier lorsque les membres y font leur retour. Nous continuerons à plaider en faveur de régimes de travail flexibles et du télétravail, car nous vivons dans un monde virtuel et nos membres ont prouvé leur capacité à être productifs tout en travaillant à distance.

Le Comité des droits de la personne et de la diversité de l’IPFPC est ravi de diriger les célébrations du Mois de l’histoire autochtone de cette année.

La Commission de vérité et de réconciliation a présenté 94 appels à l’action que les professionnels de la fonction publique, comme tous les Canadiens, ont le devoir de soutenir et mettre en œuvre.

En particulier, les membres de l’IPFPC devraient connaître la recommandation n° 57, qui invite les professionnels de la fonction publique à s’engager en faveur de la réconciliation par la sensibilisation.

S’inscrire à un cours sur l’histoire autochtone

Ces cours explorent les différentes histoires et les perspectives contemporaines des peuples autochtones vivant au Canada. Ils informent les participants sur le rôle et les responsabilités du gouvernement du Canada envers les peuples autochtones et sur leur lutte permanente contre le colonialisme.

Les membres de l’IPFPC qui s’inscrivent à l’un de ces cours peuvent télécharger la preuve de leur inscription pour avoir une chance de gagner une carte-cadeau de 500 $ pour soutenir les artistes et entreprises autochtones qui suivent :

La période du concours est maintenant terminée. Félicitations à Boyong Liang, membre de l'IPFPC du groupe VFS, gagnant du concours du Mois de l'histoire des autochtones pour 2022.

Cours

L’École de la fonction publique du Canada offre plusieurs cours dans le cadre de sa série d’apprentissage sur les questions autochtones.

S’INSCRIRE À UN COURS DE L’EFPC

L’Université de l’Alberta propose un cours en ligne gratuit intitulé « Indigenous Canada » (en anglais seulement), qui comprend 12 leçons et qui est dispensé par sa faculté d’études autochtones. Vous pouvez également payer une somme modique pour obtenir un certificat à l’issue de la formation.

S’INSCRIRE AU COURS DE L’UNIVERSITÉ DE L’ALBERTA

Renseignez-vous sur la vérité et la réconciliation lors de votre prochaine réunion de direction

Souhaitez-vous en savoir plus sur la vérité et la réconciliation lors de la prochaine réunion de votre chapitre, votre groupe ou votre région? Le Comité des droits de la personne et de la diversité de l’IPFPC est heureux de se joindre à votre réunion pour une présentation d’une heure sur l’importance de la vérité et de la réconciliation.

DEMANDER UNE PRÉSENTATION

Journée des Autochtones en direct

L’IPFPC est fier de parrainer l’émission d’APTN intitulée Journée des Autochtones en direct. Nous vous encourageons à assister aux célébrations en personne si vous êtes dans le territoire du Traité 1 (région de Winnipeg), ou en ligne par webdiffusion en direct le 18 juin à 18 h (HC).

Cette année, la Journée, qui était un concert traditionnel, est devenue un événement culturel et artistique qui braque les projecteurs sur le thème suivant : « Célébrons nos territoires. » L’émission célèbre la diversité des genres et le lien crucial qui unit les femmes autochtones à la terre. Chaque acte est dirigé par une femme autochtone ou un membre de la communauté 2SLGBTQ+.

Vous entendrez également la présidente Jenn Carr s’adresser à la communauté, avant le feu d’artifice officiel de l’IPFPC.

Ralliez le Caucus autochtone de l’IPFPC

Le Caucus autochtone conseille le Comité des droits de la personne et de la diversité de l’IPFPC sur les sujets directement liés aux membres autochtones.

Sa mission est de promouvoir l’équité dans le syndicat et sur le lieu de travail pour les membres autochtones en éliminant les obstacles, y compris le racisme anti-Autochtones, et d’instaurer des environnements dans lesquels les membres peuvent réaliser leur plein potentiel.

L’IPFPC est maintenant à la recherche de membres souhaitant faire partie du Caucus pour un mandat d’un an. Cette année, l’accent est mis sur le soutien à l’élaboration d’un plan stratégique triennal pour le Caucus et sur la centralisation du travail existant sur le racisme anti-Autochtones (c.-à-d. projets de recherche, comités, conseils consultatifs).

Les membres autochtones, y compris les Premières Nations, les Inuits et les Métis, sont invités à poser leur candidature. Pour ce faire, il leur suffit de déclarer leur intérêt à Greg Scriver, président du CDPD, à l’adresse suivante : gscriver@pipsc.ca.

Le 2 juin 2022, les électeurs ontariens ont réélu les conservateurs de M. Ford. Bien que ce ne soit pas le résultat que nous espérions, c’est la réalité à laquelle nous sommes tous confrontés. Nous devons poursuivre notre combat pour assurer des augmentations salariales équitables à nos membres.

Le 20 juin 2022 marque le 3e anniversaire de la loi 124 de M. Ford. Ce projet de loi limite les augmentations salariales issues des négociations collectives à 1 % par an pendant trois ans pour tous les fonctionnaires de l’Ontario. Cette limite s’applique également aux travailleurs hospitaliers essentiels.

Nous refusons d’accepter ce projet de loi.

« Ma priorité absolue est de rétablir le droit de négocier une convention collective équitable », a déclaré la présidente Jennifer Carr. « Nos membres ont travaillé sans relâche pour assurer des soins et des traitements aux patients vulnérables tout au long de la pandémie — le projet de loi 124 ignore complètement tout le travail qu’ils ont fait. »

Nous collaborons avec les fédérations du travail de l’Ontario et d’autres syndicats pour contester ce projet de loi. Nous avons également soutenu les efforts de la Coalition ontarienne de la santé visant à sensibiliser les gens à la privatisation des soins de santé tout au long de la campagne électorale. Ensemble, nous nous battons bec et ongles pour rétablir les droits de négociation collective en contestant la constitutionnalité du projet de loi 124.

Le projet de loi doit être abrogé.

Nos membres ont assuré la prestation de services essentiels aux Ontariens. Nous ne cesserons de nous battre pour vous jusqu’à ce que vous obteniez le respect, et le salaire, que vous méritez.

Hommage posthume : Desmond Chiang

C’est avec une profonde tristesse que nous vous annonçons le décès soudain de notre cher collègue Desmond Chiang.

Il s’agit d’une perte choquante et terrible pour sa famille comme pour tous ceux qui travaillaient étroitement avec lui à la Division O de la GRC. Desmond était un délégué syndical dévoué de la GRC qui travaillait avec diligence pour représenter les membres de l’Institut à la Division O.

On se souviendra de lui comme d’un membre civil estimé et digne de confiance, toujours souriant et prêt à aider ses collègues. Mari aimant de son épouse May Chow, il était aussi le père dévoué de Stephanie et Christopher.

Nous nous joignons à sa famille dans le deuil et lui présentons nos plus sincères condoléances. Qu’il repose en paix.

Pour plus d’information sur les funérailles, rendez-vous à https://www.arbormemorial.ca/scott-brampton/obituaries/desmond-sieng-huong-chiang/86481.

On n’a pas à investir les régimes de pension dans des entreprises douteuses ou des projets destructeurs de l’environnement pour constituer des fonds de retraite.

On peut avoir un régime de pension solide qui génère des rendements intéressants et qui le fait de façon responsable.

De nombreux membres ont exprimé leur inquiétude relativement aux sources d’investissement de leur pension. En 2020, nous avons appris que le Régime de retraite de la fonction publique (le RRFP, un régime auquel cotisent la plupart des membres de l’IPFPC), était l’unique propriétaire de Revera - une société à but lucratif qui gère les établissements de soins de longue durée responsables de centaines de décès de personnes âgées. Il a été révélé par la suite que la société avait également l’habitude d’éviter l’impôt tout en versant des dividendes.

Le dernier budget du gouvernement fédéral prévoyait l’ajout de deux représentant·e·s syndicaux au comité de gouvernance de l’Office d’investissement des régimes de pensions du secteur public (le gestionnaire du Régime de pensions du secteur public).

Il s’agit d’une occasion unique et attendue depuis longtemps d’avoir son mot à dire sur les placements de nos fonds de pension et d’appliquer ce que l’on appelle les normes d’environnement, de durabilité et de gouvernance (EDG).

Nous savons que nos membres s’attendent à ce que les politiques soient fondées sur des preuves.

Dans les prochains mois, avec d’autres syndicats, nous allons travailler avec des spécialistes en placement et des agents de recherche indépendants pour comprendre si l’application des critères d’EDG fera une réelle différence et nous évaluerons les coûts. Nous espérons que cette recherche nous aidera à élaborer notre propre politique d’EDG pour ainsi être en position d’inciter les gestionnaires de fonds et les gouvernements à faire mieux.

L’Institut siège actuellement au conseil d’administration et aux comités de supervision de plusieurs régimes de retraite. Nous contribuons à la gouvernance du régime par le biais de projets de consultation et de défense de l’intérêt public auprès d’organismes gouvernementaux. Le fait d’avoir une politique sur l’EDG garantira que nos efforts collectifs seront compatibles avec nos valeurs, en particulier au moment où les syndicats fédéraux se préparent à occuper un nouveau siège à l’Office d’investissement des régimes de pensions du secteur public.

Les pensions des membres de l’IPFPC occupent une place importante dans le milieu des placements, car elles représentent environ 1000 milliards de dollars. Avec des fonds de cette envergure, les choix d’investissements peuvent avoir un impact important sur l’environnement, l’économie et les droits de la personne, qu’il soit positif ou négatif.

D’autres fonds d’investissement d’importance ont défendu de nombreuses initiatives d’EDG financièrement saines, dont le Régime de retraite des enseignants de l’Ontario et la Caisse de dépôt et placement du Québec. Il n’y a pas si longtemps, l’Office d’investissement du régime de pensions du Canada s’est désinvesti  (en anglais seulement) de deux sociétés carcérales privées américaines ayant un horrible bilan en matière de droits de la personne. Même son conseil d’administration n’était pas au courant de cet investissement. En effectuant cette recherche, nous comprendrons mieux le régime de pensions de nos membres et ce que nous pouvons faire pour le rendre plus conforme aux valeurs.

Conformément à la recommandation du Comité consultatif sur la pension de l’IPFPC, la proposition initiale sur l’EDG tiendra compte de critères tels que la durabilité environnementale, les droits de la personne, l’inclusion et la diversité, les droits du travail, les politiques/intérêts publics fondés sur des preuves, la protection des emplois canadiens et l’avancement du secteur public. Les membres sont invités à soumettre d’autres suggestions à pensionsbenefits@pipsc.ca.

Une proposition finale sera présentée à l’assemblée générale annuelle 2022 pour approbation.

L’Institut s’est associé au Centre des Compétences futures (CCF) dans le cadre d’un nouveau projet — Navigar — visant à aider les membres à comprendre les perspectives pouvant faire avancer leur carrière, à se préparer en conséquence et à en tirer profit.

Cette nouvelle initiative de l’Institut donnera accès aux membres à des études et à de l’information objectives sur l’avenir de leur carrière. Des formations pertinentes et accessibles, qui les aideront à devancer l’évolution de leur emploi, leur seront recommandées.

En guise de remerciement, chaque membre qui répondra sera inscrit à un tirage au sort pour gagner l’une des 40 cartes-cadeaux Tim Hortons d’une valeur de 25 $.

Vous devez vous déconnecter du réseau privé virtuel (RPV) du gouvernement et utiliser un appareil personnel pour télécharger le formulaire.

Le sondage est maintenant terminé.

Le Secrétariat du Conseil du Trésor (SCT) a publié ses plus récentes lignes directrices sur l’optimisation d’un effectif hybride.

L’Institut et les autres syndicats de la fonction publique fédérale ont présenté des recommandations au SCT sur cette question plus tôt cette année, dans le cadre des discussions en cours sur ce futur modèle de fonction publique — un modèle que la présidente du SCT, Mona Fortier, s’est publiquement engagée à adopter.

Bien que les lignes directrices portent sur le télétravail, elles sont malheureusement fondées sur la politique actuelle, élaborée avant la pandémie. Nous faisons pression sur le Conseil du Trésor depuis plus de deux ans pour qu’il produise une définition claire, complète et cohérente d’un effectif travaillant en mode hybride. Nous nous attendions à un document plus substantiel qui tienne compte de nos recommandations.

À l’heure où les entreprises, les organisations et les autres syndicats du pays commencent à adopter la nouvelle normalité du travail du 21e siècle — un modèle qui comprend le travail à distance — le gouvernement montre qu’il manque de souplesse et reste coincé dans une mentalité prépandémique.

S’il n’évolue pas, il risque de prendre du retard et de perdre des professionnels expérimentés de la fonction publique qui offriront leurs compétences à des employeurs plus ouverts à cette nouvelle façon de travailler.

L’Institut a récemment mené un sondage qui a révélé que la plupart de ses membres préféraient continuer à travailler à domicile :

  • Plus de 60 % d’entre eux préfèrent le télétravail à temps plein.
  • Plus de 25 % d’entre eux préfèrent un modèle hybride.
  • 11 % préfèrent retourner au travail à temps plein, avec une certaine souplesse pour travailler occasionnellement à domicile.

Le sondage a également révélé que 60 % des membres estiment pouvoir effectuer la totalité de leur travail à domicile. 25 % ont déclaré que la majeure partie de leur travail peut être fait à domicile. Seuls 3 % affirment ne pas pouvoir travailler à domicile.

Nous devons nous assurer que l’accès à de tels milieux est équitable, qu’il tient compte des préférences des membres et qu’il est fondé sur l’impartialité et des raisons valables. L’accessibilité et les aménagements doivent être pris en compte. Les frais de bureau à domicile, tels que l’Internet à haut débit, doivent être payés par l’employeur.

En outre, des mesures sont nécessaires pour protéger le droit à la déconnexion et l’équilibre entre vie professionnelle et vie privée. Les ministères et organismes gouvernementaux doivent faire preuve de transparence et collaborer avec nos représentants pour rouvrir les lieux de travail. Ils doivent respecter les conventions collectives et toutes les lois applicables.

Enfin, il faut un plan et une approche clairs pour les bureaux à aire ouverte. Il faut aussi revoir les stratégies applicables en milieu de travail, comme les bureaux partagés et les bureaux à la carte. 

Nous continuerons à pousser le Conseil du Trésor à améliorer et à respecter son engagement envers un modèle de travail à distance et hybride. Nous tiendrons nos membres régulièrement informés.

Le 13 mai 2022, l’Institut a déposé un grief de principe (en anglais) contre la politique de vaccination obligatoire qui fait en sorte que certains membres de l’administration publique centrale, y compris la Gendarmerie royale, demeurent en congé non payé (CNP) au-delà du 6 avril 2022. Pour ce qui est de toutes les autres politique de vaccination obligatoire qui requiert aussi une révision, nous restons à l'affût des délais et déposerons des griefs de principe le moment venu.   

Le Conseil du Trésor n’a pas révisé sa politique de vaccination obligatoire dans le délai de six mois prévu par celle-ci. Avec d’autres syndicats, nous lui avons demandé de procéder à une révision compte tenu des nouvelles circonstances entourant la pandémie. 

Le fait que l’employeur n’ait pas révisé la politique dans le contexte de l’assouplissement des restrictions sanitaires constitue un abus flagrant du pouvoir de la direction sur le lieu de travail. Le Conseil du Trésor n’a pas respecté son engagement à réviser et modifier la politique.

Le fait de garder les employé.e.s non vacciné.e.s en CNP après le 6 avril 2022 est à la fois injustifié et excessif dans le contexte actuel.

Il est important de rappeler que l’Institut demeure favorable à la vaccination et à l’objectif de santé et de sécurité de la politique dans son ensemble. Cependant, étant donné le paysage changeant de la pandémie, nous croyons que la politique de l’employeur est maintenant déraisonnable. 

Comme c’est généralement le cas lorsqu’on dépose un grief de principe, nous recommandons aux membres de déposer également un grief individuel contre leur CNP qui se prolonge après le 6 avril 2022. Ces griefs individuels serviront à permettre aux membres de chercher à obtenir réparation individuellement pendant que nous faisons avancer le grief de principe. Les griefs individuels seront suspendus en attendant l’issue du grief de principe. Une fois que l’issue du grief de principe sera connue, nous pourrons traiter les griefs individuels non encore réglés, le cas échéant. L’utilisation du modèle de grief que nous avons créé facilitera le dépôt et le traitement de votre grief. Si vous souhaitez déposer un grief, veuillez remplir la section 1 du modèle et contacter un.e agent.e des relations du travail.

Notez que si nous aidons déjà un.e membre avec un grief en cours lié à cette politique (demande d’accommodement ou autre), son grief ne sera pas affecté par le grief de principe. Même si un.e membre a déjà un grief en cours, nous recommandons de déposer un nouveau grief individuel tel que décrit ci-dessus pour contester le maintien de son CNP au-delà du 6 avril 2022 au cas où son grief initial n’aurait pas abouti.

Quant aux membres qui travaillent pour des employeurs et des organismes distincts et qui ont une politique identique, nous travaillons sur des griefs de principes et des modèles de griefs individuels pour les accompagner. La date d’examen de la politique prévue par chaque employeur y sera indiquée. Plus de détails vous seront fournis quand ils seront disponibles.

Veuillez également consulter notre FAQ sur la vaccination obligatoire ainsi que la politique de vaccination obligatoire du Conseil du Trésor.

Veuillez contacter un.e agent.e des relations du travail si vous avez d’autres questions.