Le jeudi 9 juillet dernier, la présidente Debi Daviau a animé une assemblée téléphonique pour les membres de l’Institut qui travaillent pour un employeur provincial ou distinct. Elle a expliqué les conséquences de la COVID-19 sur leur vie professionnelle, ce que l’Institut fait pour atténuer les impacts de cette crise et ce que nous ferons ensuite.
Les membres ont obtenu réponse à leurs questions sur la santé, la sécurité et d’autres sujets liés à la pandémie au cours de l’appel.
Les personnes qui n’ont pas pu se joindre à nous peuvent écouter l’assemblée en rediffusion dans la langue de leur choix :
Qu’il s’agisse d’enquêter sur un avion qui s’abîme en mer, un train qui déraille dans les Prairies ou le déversement d’un pipeline dans les montagnes, les spécialistes du Bureau de la sécurité des transports qui analysent les enregistreurs de données parviennent à élucider les mystères.
Ils le font même parfois mieux que quiconque sur la planète.
Branden Murdoch a grandi sur une ferme en Colombie-Britannique avant de découvrir son amour pour le génie aérospatial à l’Université Carleton.
Aujourd’hui membre de l’Institut, il est un de ces analystes de classe mondiale.
Branden analyse l’information récupérée dans des « boîtes noires », qui enregistrent les données de vol et les voix du poste de pilotage. De concert avec son équipe, il étudie l’information sur les écrasements d’avion afin de déterminer ce qui s’est passé et de prévenir les accidents.
Ce spécialiste est fier de voir que son travail améliore le quotidien des gens.
« Chaque jour, je sais exactement ce que je vais faire pour améliorer la sécurité des transports, et ce, non seulement au Canada, mais aussi dans le monde entier, car notre mandat est international... Je sais que j’améliore la sécurité de l’aviation et des transports partout sur la planète ».
Au cours des dernières années, Branden et ses collègues ont gagné en crédibilité dans les secteurs public et privé du monde entier. L’industrie avait l’habitude de négliger les données sur les collisions, et le fait de souligner les principaux problèmes des boîtes noires et des autres dispositifs du genre n’est pas sans difficulté. Compte tenu de la profondeur de l’engagement des membres de son équipe et de leurs capacités pratiques, ils savent maintenant que lorsqu’ils prennent la parole, les organismes de réglementation leur prêtent une oreille attentive.
La nécessité d’assurer le maintien de leur impartialité par rapport aux organismes de réglementation explique pourquoi ce travail se fait dans le secteur public plutôt que dans le secteur privé.
« Tout le monde aime rentrer chez soi et rendre visite à ses parents à Noël, tout le monde veut des vacances au soleil... mais personne ne veut que ses proches meurent en mer sur un bateau de pêche, ajoute-t-il. Ainsi, je pense que chacun sait qu’il y a des conséquences bien tangibles et déchirantes quand la sécurité est reléguée aux oubliettes et que quelque chose passe à travers les mailles du filet. »
Sa plus grande source de fierté cependant, n’a rien à voir avec le travail.
Comme beaucoup d’entre nous, c’est la possibilité de concilier son travail et sa famille qui lui procure la plus grande joie, lui qui peut ainsi rentrer chez lui en ayant le sentiment du devoir accompli à la fin de la journée, tout en ayant la possibilité de passer du temps de qualité avec ses proches.
Travailler au Bureau de la sécurité des transports en bénéficiant de la protection de son syndicat lui permet de maintenir cet équilibre crucial, tout en s’assurant que son équipe a les ressources nécessaires pour faire son travail du mieux qu’elle le peut.
« Je sais que les Canadiens peuvent voir que notre travail se traduit par des réalisations concrètes pour améliorer la sécurité des transports et sauver des vies. Chacun peut ainsi dormir tranquille, en sachant que des esprits très brillants s’assurent de la sécurité des citoyens chaque fois qu’ils montent à bord d’un avion, d’un train ou d’un bateau. »
L'UCP a commencé à exécuter son plan visant à réduire le pouvoir des travailleurs et des syndicats de l'Alberta. Nous sommes fiers de faire partie d'un mouvement syndical qui défend les travailleurs et lutte pour une société meilleure. Nous ne ferons pas marche arrière.
Nous adressons toutes nos félicitations à l’AFPC et aux 70 000 membres du groupe PA, qui ont conclu une entente de principe. En ces temps sans précédent, les fonctionnaires se surpassent pour assurer la prestation des services gouvernementaux à la population. Leur travail acharné et leur dévouement ont été reconnus.
Cet accord viendra bonifier les nombreux acquis progressistes que nous avons obtenus lors de la dernière ronde de négociations. Il s’agit notamment de l’octroi de 10 jours de congé payé aux survivants et aux victimes de violence familiale (un gain historique), ainsi que de l’amélioration des dispositions relatives au congé parental.
L’AFPC a également conclu un accord de compensation pour les dommages et les difficultés causés par Phénix. Cet accord pourrait activer la clause de « rattrapage » de notre propre entente de dédommagement. Nous attendons de connaître les modalités précises de cet accord pour déterminer quelle sera son incidence sur nos membres.
La première partie des audiences de la Commission de l’intérêt public (CIP) du groupe CS s’est tenue les 22 et 23 juin 2020. Les audiences se poursuivront en juillet 2020.
La présidente de l’Institut, Debi Daviau, a animé une assemblée téléphonique pour les fonctionnaires fédéraux le jeudi 18 juin dernier. Elle y a discuté des conséquences de la COVID-19 sur la vie professionnelle des fonctionnaires fédéraux, de ce que l’Institut a fait pour pallier cette crise et comment le syndicat compte poursuivre ses efforts en ce sens.
Les membres ont obtenu réponse à leurs questions sur le retour dans les lieux de travail ainsi que sur la santé, la prévention et d’autres sujets liés à la pandémie, et ce, en direct au téléphone.
Les personnes qui n’ont pas pu se joindre à nous peuvent écouter l’une des trois séances en rediffusion :
La présidente Debi Daviau animera une assemblée téléphonique pour les membres de l’Institut qui travaillent pour un employeur provincial ou distinct le jeudi 9 juillet prochain. Elle y expliquera les conséquences de la COVID-19 sur votre vie professionnelle, ce que l’Institut a fait pour pallier cette crise et comment il compte poursuivre ses efforts en ce sens.
Nous répondrons à vos questions sur la santé, la prévention et d’autres sujets liés à la pandémie, et ce, en direct au téléphone.
Participez à l’une des assemblées suivantes :
Assemblée en français
Date : Jeudi 9 juillet
Heure : 15 h (HAA) / 14 h (HAE) / 13 h (HAC) / 12 h (HAR) / 11 h (HAP)
Assemblée téléphonique en anglais
Date : Jeudi 9 juillet
Heure : 16 h 30 (HAA) / 15 h 30 (HAE) / 14 h 30 (HAC) / 13 h 30 (HAR) / 12 h 30 (HAP)
Comment participer :
1. Nous vous appellerons juste avant le début de l’assemblée en fonction de votre région et de la langue de votre choix. Répondez au téléphone et restez en ligne.
2. Composez le numéro indiqué. Français : 1-877-255-5810 Anglais : 1-877-229-8493 Code à entrer : 112851
Vous devriez maintenant avoir également reçu votre journée compensatoire correspondant à l’exercice 2019-2020.
Si vous avez travaillé au moins une journée en 2016-2017, 2017-2018, 2018-2019 ou 2019-2020 et que vous avez été rémunéré par Phénix, vous avez droit à une indemnité. Vous devriez avoir reçu deux jours de congé pour 2016-2017 et un jour de congé payé pour chaque année des exercices suivants.
Si vous croyez qu’une erreur a été commise dans le nombre de journées compensatoires ajoutées à votre banque de congés, communiquez avec l’équipe des ressources humaines de votre ministère. Vous trouverez ses coordonnées dans le courriel que vous devriez avoir reçu de votre ministère.
Les employés actuels ou antérieurs qui ont travaillé entre le 1er avril 2016 et le 31 mars 2020 dans un ministère qui utilise le système de paye Phénix ont droit à une indemnité, qu’ils aient eu ou non un problème de paye. Vous pourriez encore être en droit de présenter une demande d’indemnisation personnelle .
Nous sommes fiers d’avoir participé à la toute première Journée de lobbyisme autochtone du CTC en avril 2019. Bien que nous ne puissions pas répéter l'événement à nouveau cette année, vous pouvez écouter Greg Scriver parler de son importance et son incidence.
Greg a codirigé cet événement et a été interviewé récemment dans le cadre de l’émission « From the House to the Red Chamber » de la CBC : Comment les peuples autochtones font entendre leur voix sur la Colline du Parlement.
Cet événement a joué un rôle important dans la recherche de la vérité et de la réconciliation — il s'agissait d'une occasion pour les peuples autochtones et leurs alliés d’un océan à l’autre de s’adresser directement aux élus.
Ils ont appelé le gouvernement fédéral à agir sur plusieurs fronts :
prendre des mesures concernant les femmes et les filles autochtones disparues et assassinées;
garantir à chacun une eau potable;
créer un registre national de survivants des pensionnats;
faire du 30 septembre un jour férié national consacré à la sensibilisation à la problématique des pensionnats ainsi qu’à la vérité et la réconciliation.
Les Autochtones et leurs alliés ont attiré l’attention sur ces questions en plus de relater leurs propres expériences directement aux élus et élues.