Chaque jour, des fonctionnaires se rendent au travail pour protéger et servir la population du Canada de plusieurs façons. Lorsque la COVID-19 a frappé, vous étiez prêts et vous avez fait ce qu’on attendait de vous.
La présidente Debi Daviau animera une assemblée téléphonique pour les fonctionnaires fédéraux le jeudi 18 juin prochain.
Ce sera une bonne occasion d’expliquer toute l’incidence de la COVID-19 sur notre travail en tant que fonctionnaires fédéraux, les mesures préconisées par l’IPFPC ainsi que la suite des choses.
Nous allons répondre à vos questions concernant les plans de retour au travail, la santé, la sécurité et d’autres questions liées à la pandémie.
Vous trouverez tous les détails ici.
C’est vous qui assurez l’unité et le fonctionnement du pays, et nous ne pourrions pas en être plus fiers!
La présidente Debi Daviau animera une assemblée téléphonique pour les fonctionnaires fédéraux le jeudi 18 juin prochain. Elle y expliquera toute l’incidence de la COVID-19 sur notre travail en tant que fonctionnaires fédéraux, les mesures préconisées par l’IPFPC ainsi que la suite des choses.
Nous allons répondre à vos questions concernant les plans de retour au travail, la santé, la sécurité et d’autres questions liées à la pandémie.
Participez à l’une des assemblées suivantes :
Assemblée en français
Date : Jeudi 18 juin
Heure : 19 h 30 HAA / 18 h 30 HAE / 17 h 30 HAC / 16 h 30 HAR / 15 h 30 HAP
Assemblée en anglais (Est)
Date : Jeudi 18 juin
Heure : 18 h HAA / 17 h HAE / 16 h HAC / 15 h HAR / 14 h HAP
Assemblée en anglais (Ouest)
Date : Jeudi 18 juin
Heure : 22 h HAA / 21 h HAE / 20 h HAC / 19 h HAR / 18 h HAP
Accéder à l’assemblée
1. Nous vous appellerons juste avant le début de l’assemblée en fonction de votre région et de la langue de votre choix. Répondez au téléphone et restez en ligne.
2. Composez le numéro indiqué.
Français : 1-877-255-5810
Anglais : 1-877-229-8493
Code à entrer : 112851
3. Suivez la diffusion en ligne : https://video.teleforumonline.com/video/streaming.php?client=12851
À bientôt!
Le 21 juin, nous marquerons la Journée nationale des peuples autochtones — une occasion pour nous tous de célébrer les cultures des Premières nations, des Inuits et des Métis.
De nombreux groupes autochtones célèbrent leur culture et leur héritage durant le solstice d’été. Cette journée nous donne la chance de mieux connaître les difficultés uniques qu'ils ont dû surmonter au fil des ans.
Nous vous encourageons à agir dès maintenant pour soutenir les peuples autochtones :
- Faites des recherches pour déterminer à qui appartiennent les terres sur lesquelles vous vous trouvez : l’outil Whose Land (en anglais seulement) vous indiquera quelles terres colonisées vous occupez.
- Soutenez les entreprises et les services autochtones : trouvez un commerce local où vous pouvez faire vos achats en ligne ou en personne, en respectant les règles de distanciation physique.
- Assistez aux célébrations virtuelles de la Journée nationale des peuples autochtones : avec votre famille, vos amis et vos collègues. Consultez le site summersolsticefestivals.ca (en anglais seulement); vous y trouverez de bonnes idées.
- Renseignez-vous sur l’histoire et la culture des peuples autochtones : découvrez leur histoire, leur langue, leurs pratiques culturelles et leurs croyances spirituelles uniques.
Le Canada s’est engagé dans un processus de vérité et réconciliation avec les peuples autochtones, et cet engagement nécessite que nous mettions tous la main à la pâte.
Pour en savoir plus, contactez Greg Scriver, représentant autochtone du Congrès du travail du Canada, à gscriver@pipsc.ca.
Les communautés LGBTQ2+ et leurs organismes alliés ont commencé à organiser des événements en ligne pour marquer la Fierté 2020 – et nous voulons élever vos voix.
Les célébrations de la Fierté dans tout le pays ont été déplacées de nos rues vers l’internet, mais nous sommes toujours aussi fiers. Et lorsque le moment sera venu, nous nous retrouverons tous ensemble, côte à côte, pour lutter en faveur de communautés inclusives et sûres.
Partagez vos photos avec nous en utilisant notre mot-clic #FierteIPFPC sur Facebook et Twitter ou envoyez-nous un courriel à bienmieuxensemble@ipfpc.ca d'ici le 25 juin.
Nous les partagerons de nouveau pour élever votre voix, diffuser votre message ou faire connaître votre activité de la Fierté!
Le nom d'une personne qui aura partagé ses photos sera tiré au sort pour gagner une œuvre d’art d’un(e) artiste LGBTQ2+ du Canada.
Avec autant de réunions se déroulant maintenant en ligne, vous pouvez afficher votre fierté et votre solidarité en utilisant notre arrière-plan numérique de la fierté ou notre affiche de la fierté. Nous avons également créé des pages à colorier de la Fierté pour toute la famille.
Nous vous recommandons également de jeter un coup d’œil sur ce que fait le Congrès du travail du Canada pour les communautés LGBTQ2+.
Cliquez ici pour en savoir plus sur notre Comité des droits de la personne et de la diversité.
Nous ne sommes pas pressés de voir nos membres retourner à leur lieu de travail tant que toutes les précautions n’auront pas été prises et que les autorités sanitaires n’auront pas donné leur aval.
Depuis plusieurs semaines, l’IPFPC est en discussion avec le Secrétariat du Conseil du Trésor concernant les lignes directrices qui régiront le retour au travail de ses membres. La date de ce retour n’a toujours pas été fixée.
Nous ne voyons pas de raison de jeter la prudence aux orties et de renvoyer les gens dans leurs lieux de travail alors qu’ils ont été si productifs à domicile. Nous vivons dans un monde virtuel et les fonctionnaires ont prouvé leur capacité à demeurer productifs tout en travaillant à distance.
En aucune circonstance n’allons-nous permettre que votre sécurité soit compromise; il faudra donc peut-être attendre encore quelque temps avant de retourner à votre lieu de travail. Les ministères doivent faire preuve de transparence et collaborer avec nos représentants pour mener à bien leurs projets de réouverture des lieux de travail.
Nous ne sommes pas encore convaincus que des mesures de santé et de sécurité adéquates ont été mises en place, notamment pour assurer la distanciation des employés et l’assainissement des espaces communs tels que les salles de bain et les cuisines, ou même la sûreté des systèmes de ventilation et de la circulation d’air dans les espaces de travail.
Nous allons maintenir la pression pour que ceux et celles qui ont continué de travailler en première ligne dans leurs lieux de travail habituels reçoivent de l’équipement de protection individuelle (EPI) adéquat et puissent refuser de travailler si leur sécurité est compromise.
Pour les parents, l’équilibre entre le travail et la garde des enfants est une source énorme de stress. Pour alléger le fardeau des familles, le code de congé 699 doit leur être accessible lorsque les garderies et les écoles sont fermées, à participation volontaire ou ouvertes à un nombre limité d’enfants.
Là où les écoles et les garderies ont rouvert leurs portes, les familles qui ne sont pas à l’aise d’y envoyer leurs enfants devraient continuer de bénéficier de ce congé. Nous demandons que les fonctionnaires puissent utiliser le code de congé 699 jusqu’au début de la prochaine année scolaire afin de faciliter toutes les négociations requises.
Nous nous battrons pour que le congé dont vous avez besoin soit mis à votre disposition. Vous ne devriez pas avoir à choisir entre un chèque de paye et vous occuper de vos enfants!
Il va sans dire que l’employeur doit respecter les conventions collectives et toutes les lois applicables. Nous allons également déterminer les mesures temporaires qui pourraient être nécessaires, en plus des dispositions des conventions collectives actuelles, pour nous adapter à la nouvelle réalité de la COVID-19.
Il faudra peut-être trouver des occasions de mettre à l’essai des solutions novatrices d’assouplissement des horaires de travail. Il se peut qu’il n’y ait pas de solution unique pour tous à l’avenir. Une solution appropriée à un endroit peut ne pas convenir à toutes les situations, car les exigences en matière d’installations varient grandement selon les régions, les professions et les lieux de travail. Quelle que soit votre situation, nous serons là pour vous aider!
Merci à nos professionnels de la fonction publique
Philippe a toujours voulu être chimiste quand il était petit. Changer des particules et expérimenter des solutions ont toujours suscité son intérêt.
Mais il ne se doutait pas qu’il deviendrait ingénieur à l’Agence spatiale canadienne (ASC) et qu’il participerait à des innovations spatiales passionnantes. Même s’il ne fait pas de chimie tous les jours, il adore son travail.
« Je suis surtout chargé d’examiner les projets spéciaux à l’ASC pour que tous les paramètres de projet soient respectés, explique-t-il. Ça me permet de garantir aux Canadiens que tous les projets répondent à leurs besoins ».
Philippe travaille souvent sur des projets spatiaux de lancement et de surveillance de satellites qui nous fournissent d’importantes données de navigation. Grâce à ces satellites, les systèmes GPS et autres systèmes radars deviennent encore plus précis, aussi bien pour la randonnée pédestre ou à vélo que pour les déplacements quotidiens en voiture.
Il aime travailler avec son équipe pour veiller à ce que la science publique améliore la qualité de la technologie spatiale.
Philippe est également un délégué syndical de l’Institut. Il aide ses collègues à comprendre leur convention collective et il est là pour les soutenir lorsqu’ils our elles ont des problèmes au travail.
Selon lui, l’un des grands privilèges d’être membre d’un syndicat, c’est d’avoir accès à la technologie et aux ressources qui optimisent ses capacités.
« À l’agence spatiale, nous sommes privilégiés, car nous avons accès aux programmes spéciaux et aux ressources dont nous avons besoin ».
Au chapitre de l’équilibre entre la vie professionnelle et la vie personnelle, Philippe apprécie également la sécurité que procure l’adhésion à un syndicat.
« Faire partie d’une institution comme l’IPFPC nous permet d’être bien représentés pour avoir de bonnes conditions de travail, explique-t-il. À la dernière ronde de négociations, le syndicat a réussi à négocier un programme de mieux-être qui porte sur la violence au travail. Cette sécurité, nous ne l’aurions pas sans l’IPFPC ».
Travailler dans un environnement sain et sécuritaire permet à Philippe et à son équipe d’accomplir avec confiance le travail que les Canadiens et Canadiennes trouvent important.
Il reconnaît que la recherche joue un rôle important pour asseoir notre leadership en technologie spatiale. Plus précisément, la mission de la Constellation RADARSAT de l’ASC sert à améliorer la navigation et la détection des navires pour la Défense nationale du Canada.
« Ma plus grande fierté en carrière, c’est d’avoir été affecté au centre d’exploitation de satellites de l’agence spatiale. C’est un projet dont la réalisation a pris des années. Nous avons entrepris de nombreuses opérations et lancé des satellites qui, ensemble, ont amélioré notre travail sur la mission de la Constellation RADARSAT ».
Tous les jours, Philippe et son équipe travaillent dans l’intérêt public au développement des innovations spatiales qui créeront un plus bel avenir à tous les Canadiens et Canadiennes, et leur donneront un meilleur accès aux technologies fiables.
OTTAWA, le 5 juin 2020 — L’Institut professionnel de la fonction publique du Canada (IPFPC) demande au gouvernement de l’Ontario de corriger les erreurs flagrantes de son programme de prime de pandémie et d’y inclure les radiothérapeutes de première ligne qui traitent des patients vulnérables dans les centres de cancérologie de l’Ontario pendant la crise.
« Nous sommes très fiers de nos radiothérapeutes qui travaillent en première ligne pendant cette pandémie, déclare Debi Daviau, présidente du syndicat. Ils sont exposés à la COVID-19 au travail. Ils risquent non seulement leur propre vie, mais aussi celle de leurs proches. »
Les radiothérapeutes sont soumis aux mêmes exigences de l’état d’urgence de l’Ontario que les autres travailleurs de la santé considérés comme admissibles à la prime de pandémie. Ces travailleurs essentiels ne peuvent pas refuser de traiter des patients soupçonnés d’avoir contracté la COVID-19, ou dont l’infection est confirmée. Ils prennent toutes les précautions possibles et portent en tout temps un équipement de protection individuelle (EPI).
L’Association des hôpitaux de l’Ontario, de nombreux chefs de la direction d’hôpitaux ainsi que des organisations d’employeurs et d’employés ont demandé au gouvernement d’élargir la prime de pandémie à tous les travailleurs hospitaliers de première ligne, mais ces demandes sont restées lettre morte.
« Ce n’est pas uniquement une question de rémunération, poursuit Mme Daviau. Il s’agit aussi de respect et de reconnaissance pour les services essentiels exécutés par ces travailleurs pendant la crise. Les patients atteints de cancer constituent une population d’autant plus vulnérable que nous sommes en temps de pandémie. Cette décision est plus que décevante — elle est carrément bouleversante pour nos membres qui ont traité des patients à risque tout au long de cette crise. Ils méritent la même reconnaissance que les autres professionnels de la santé qui touchent cette prime. »
L’Institut professionnel de la fonction publique du Canada représente quelque 60 000 fonctionnaires professionnels partout au Canada, dont des radiothérapeutes travaillant au Juravinski Cancer Centre, au Walker Family Cancer Centre ainsi que dans les hôpitaux de Sunnybook, Thunder Bay et Windsor. Suivez-nous sur Facebook et Twitter.
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Source : Johanne Fillion, 613-883-4900 (cellulaire), jfillion@pipsc.ca